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17 septembre 2009 4 17 /09 /septembre /2009 20:30



Sport 

Réception en l'honneur de Lakhdar Belloumi à Djeddah (Arabie Saoudite)

L'ancien ballon d'or africain, l'Algérien Lakhdar Belloumi, a été félicité à Djeddah pour son parcours sportif et son apport à l'équipe nationale de football lors d'une cérémonie organisée en son honneur par le consul d'Algérie, Salah Attia. Lakhdar Belloumi, qui effectue actuellement la Omra (petit pèlerinage) aux Lieux Saints, a été chaleureusement félicité par le consul d'Algérie à Djeddah "pour l'ensemble de son parcours au sein de l'équipe nationale" et son apport personnel à cette équipe qui avait joué le mondial espagnol (1982). Plusieurs personnalités sportives algériennes ont assisté à cette cérémonie, dont les présidents de la Fédération algérienne de football (FAF), Mohamed Raouraoua, et de la Ligue nationale de football (LNF), Mohamed Mecherara, Said Allik (USM Alger), Salhi Abdelhamid, ancien joueur international de l'ES Sétif, et Kada Chafi, président de l'association "La Radieuse" d'Oran

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17 septembre 2009 4 17 /09 /septembre /2009 00:29



ay azerẓuṛ urqim
ittunagen bγir aεwin
di tmurt utwil ur d-iqim
γewden abrid at tismin
la ttnejlin aken d lqim
ay teččamt a tiflukin


ay agḍiḍ awṛaγ urqim
id yettuγalen di tefsut
cnna-k yezuzuf lγim
itekkes anezgum tagut
nekki deg-was n umeččim
i kkiγ di lεetba n tebburt


la ttrun akw bla aẓalim
tiweḍ-asen tfiddi s iγes
iččuṛ i meden ugelmim
tiγri n ṛwaḥ la tḥeggweṣ
errẓ-as ifadden iwexṣṣim
tesenseḍ-d ay Uzmir times
Ukerdis

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16 septembre 2009 3 16 /09 /septembre /2009 23:09




Limmer d aziḍuḍ i lliγ
D aya i ttmenniγ
Adrar n lεez ar t awḍaγ

Teẓram akw zik id nfiγ
Ur d-ttaseγ ur d-ṭṭiliγ
S agafa nek i nejlaγ

Ğğiγ akal anda d-gmiγ
Mačči d ayen iwεiγ
Mi ğğiγ idurar ḥemlaγ

Ulac tamurt ur d-ekkiγ
Ar ass-a ur kniγ 
A tilleli tin f
i selbaγ



Ukerdis

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16 septembre 2009 3 16 /09 /septembre /2009 22:08
ddk 17 sept 09

Sεid At Maεmar
«Mes poèmes sont mes enfants»

Mots tranchants et recherchés, sa poésie est cet univers plein de vie et d’images. Lui c’est Essaid At M3emmar. Poète scrutateur, il interroge les mots pour en ressortir des vers envoûtants caressant avec une infinie délicatesse la langue kabyle. Essaïd At M3emmar est cet homme de culture pour qui, elle est tout. Il compose sous forme poétique des histoires anciennes, Timucuha. A travers ses différentes œuvres, Essaïd revendique ses opinions, ses penchants et ses envies. Loin de tout artifice, il a su redonner au mot kabyle la place qui était la sienne.

Cette interview est réalisée initialement en kabyle. Notre ami Smaïl Abid a pris le soin de la traduire afin de permettre à plus de lecteurs de lire Essaïd At M3emmar.    

 

La Dépêche de Kabylie : Avant de rentrer dans le vif du sujet, pouvez-vous vous présenter à nos lecteurs ?

Essaïd At M3emmar : Au pays des Kabyles, le père est un représentant de ta famille. Quant à la mère, elle n’en est pas une, comme si elle est étrangère, elle qui t’a enfanté. 

Et comme tout cela ne me convient pas, voilà donc ma réponse à votre question :

Ma mère est d’At Wegni n Teslent, mon père d’At Meslayen, je peux aussi dire que je suis un Amichliw,  et l’Amichliw est Kabyle.

Donc, Essaïd At M3emmer est un Kabyle, vivant actuellement en Allemagne, et ce depuis 18 ans déjà. Il s’est marié avec une fille du pays hôte, est père de trois enfants (Tiziri, Lewnis et Kalden).

J’ai fait également, ici, le lycée (l'Hôtellerie), même si mon travail actuel est tout autre chose.

 

Kabyle vivant en Allemagne, l’exil est-il une source d’inspiration ?

Qui sait, peut-être ?! Mais ici, il y a un doute en la vérité, parce que je n’étais pas quelqu’un qui voulait devenir poète. Sans trop tourner autour, je veux dire que je suis né poète. Donc, même quand j’étais au village j’ai écrit plusieurs poèmes. Mais, vous pouvez dire qu’en exil une large porte s’œuvre sur un horizon. Aussi vaste que la mer, m’est ouverte.

Je résume donc ce que je vous ai déjà dit auparavant, je vis en Allemagne. Ici, la langue officielle est la langue maternelle de Brecht, Hesse, Von Goethe, Heine...etc.

 

Vous êtes poète, que représente pour vous la poésie ?

Le poète est quelqu’un qui écrit de la poésie. J’imagine que vous saviez déjà où je veux arriver : Mes poèmes sont mes enfants.

Je veux aussi vous avouer une confidence :

Quoi que je fasse, même si que tout le monde le trouve extraordinaire, à moi, il me paraît mal fait.  Mes poèmes ne me plaisent qu’au moment où je rime. Pour moi, je ne sais faire que cela. Je suis inhabile, voire ignorant en les autres choses.

 

Vous avez édité, en 2001, deux recueils, à savoir, a baba, et I kecc a Lwennas et aussi un hommage à Muhend U Yehya, pouvez-vous nous présenter ces recueils ?

C’est vrai, j’ai sorti en 2001 deux CD (1- A baba, 2- I kecc a Lwennas),  chacun contient quinze poèmes. En Kabylie, ils sont aussi disponibles en K7. Et tout cela, je l’ai fait tout seul, sans l’aide des éditions. Ici, ils m’ont coûté 3000 euros,  en Kabylie 100000 DA.

Mais cela ne m’a pas désespéré, parce que je sais d’où vient tout cela.  Brecht disait "Celui qui lutte peut perdre, celui qui ne lutte pas est déjà perdant".

J’ai sorti donc cette année deux autres CD  dans un seul volume, où j’ai rendu hommage à Muhya, le pilier de la littérature kabyle, même si je sais qu’il mérite mieux que ce titre. Ces CD ont les titres de "Amdan igerrzen"  (l’homme bon) et "Tadsimant" (l’autonomie),  l’idée à laquelle je crois comme une sortie de la Kabylie de l’obscurité, comme l’a bien écrit en préface monsieur Kamal Naït Zerrad.

Je n’oublie pas de vous dire que dans chaque CD, il y a 15 poèmes. J’ai quoi dire (rire).

 

Vous êtes, selon des informations, sur un autre recueil pour cette année ?

J’ai plusieurs projets dans le monde de la littérature kabyle. Oui, quand les moyens se présenteront, il y aura du nouveau.

 

Vous composez sur des sujets divers, allant de l’amour, le pays, des sujets politiques… pourquoi ce choix ?

Le choix n’est pas écrit sur mon front comme l’est la cicatrice. Ce n’est pas moi qui sélectionne la chose, mais c’est la chose qui me choisit.  Le Pays est mien, j’y suis né, lui est ma mère, moi son fils.

L’Amour avant que je ne sois poète, je suis aussi un humain,  donc moi aussi j’ai des sentiments. En plus, ceux du poète sont trop vulnérables. La Politique, c’est avec elle que fonctionnent les affaires de notre vie.

 

La Kabylie revient toujours dans vos poèmes, quelle est sa place réelle dans votre vie, vous qui vivez en exil ?

Ici, il faut viser la tête du serpent, comme dit-on chez nous. Ma réponse pour votre question précédente “le Pays est mien, j’y suis né, lui est ma mère, moi son fils”, ici, je parle de la Kabylie, pas d’autre chose.

Je ne trouve pas d’autres mots convaincants mieux que ceux-là de Lwennas: "A le3mer-iw, a le3mer-iw, d leqbayel i d le3mer-iw" (Ô ma vie, ô ma vie, la Kabylie est ma vie !).

J’aime bien le pays des Kabyles, j’aime le peuple kabyle, même si …., ils sont au-dessus de tout ce qui existe au monde. Celui qui dira que nous ne formons pas un peuple, je lui réponds : «Ô pauvre, tu es passé à côté de la plaque !» 

 

La poésie en Kabylie est généralement chantée, quel regard portez-vous sur les textes chantés par cette nouvelle génération?

C’est aussi une bonne question. Mais n’osez pas croire que je vais vous répondre comme vous l’attendiez !  

Moi, je ne partage pas l’avis que pense la plupart. Je vous remercie de m’avoir donné l’occasion d’extérioriser ce qui me blesse, depuis longtemps, le cœur.

Donc, vaut mieux ceux d’aujourd’hui que ceux d’hier. Je ne parle pas ici des pseudo-chanteurs, sur lequels disait Lwennas “Mieux vaut cela que d’aller voler”. Ceux-là, existent dans tous les pays.

L’Allemagne en est pleine, même si Thomas Manny est né. Je parle donc des artistes comme Murad Zimu. À part  l’ancien, Lwennas  ou Lewnis, où sont-ils, ces chanteurs anciens qui ont des idées comme les siennes ?

Où est donc la différence entre ces anciens poètes, sans citer de noms,  et Rabah Deryasa ?

Quand le bateau de la société est entrain de couler,  les artistes sont ceux qui essayent de le sauver d’une calamité comme celle parvenue au Titanic, et non ceux qui occupent juste une place dans ce bateau et chantent zwi-tt rwi-tt alors qu’ils vont au fond de la mer. Qui est-ce qui a sauvé ces pays modernes dans le Moyens-Age ? Ne sont-ils pas les poètes ou les artistes en général ?

 

Si la plupart de nos artistes sont bons, pourquoi sommes-nous jusqu’à ce jour dans une niche couverte de poussière?

Rwu isteqsiyen tura kecc, ccah ghzigh-ak!

Lemmer ad iyi-tessunefk tegnit anda-nniden, atas, atas i zemregh a d-inigh ghef usentel-agi (sujet).

 

Certes, la Kabylie est issue d’une culture de tradition orale, où le mot a une place prépondérante dans la vie des Kabyles, mais d’autres moyens existent, à l’instar de l’Internet, du livre…pensez-vous que la poésie a toujours sa place dans notre société ?

Je crois que oui. En plus, nous savons tous ce qu’a écrit J. M. Amrouche sur la poésie kabyle.

La poésie est un art, elle est aussi littérature.  Donc, pour que vive notre société, il faut que notre littérature vive. Aussi, sans art, la situation sera davantage critique. Donc, nous avons besoin de poésie et de l’art en général : théâtres, contes, romans, films, etc.…

 

Vous avez aussi composez en forme de poème des histoires anciennes, Timucuha, dans quel but avez-vous fait ce travail ?

Il y a deux choses ici:

La première est le conte "Imetti n bab idurar" (les pleurs de Bab Idurar) qu’a écrit mon ami Dr. Akli Kebaili (Akli Azwaw), qui est plein de sens extraordinaire. Donc, je me suis dit «pourquoi les Allemands ont "Faust", les Anglais ont "Hamlet",  nous rien ?» Je suis passé tout un hiver à transformer "Imetti n bab idurar" en un long poème. Je ne dois pas aussi oublier de remercier beaucoup notre poète-écrivain Djamel Benaouf pour l’aide qu’il m’a apportée. La deuxième ou les autres contes, ce sont des comptes, rédigés par les Frères Grimm en allemand, que j’ai traduit en kabyle. J’ai publié trois de ces contes sur le site de la littérature kabyle  www.imyura.net. Ils sont également publiés ailleurs. Pour cette occasion, je n’oublie pas de remercier Wansen, le bloger de imyura.net, pour ses encouragements. J’écris également des nouvelles, dont quatre publiés sur le site imyura.net. Une d’elle sortira dans le prochain numéro de la revue «Ssut umazi» (l’appel de l’Amazigh) publié aux U.S.A.

 

Si on vous sollicite pour composer des poèmes pour des chansons, vous le feriez ?

Bonne idée, pourquoi pas?

Je ne refuse pas, si je trouve des gens qui veulent travailler dans la qualité, la sagesse, l’amour aussi.

 

Un dernier mot ?

Si c’est ma volonté, c’est vous qui me dira maintenant quelque chose. Mais tant mieux comme ça. Si vous avez remarqué, j’aime bien trop bavarder.

Donc, il n’y a pas un seul mot, mais des mots :

Merci pour  ce respect que vous m’aviez accordé, que je ne mérite pas peut-être!

Je souhaite que le peuple kabyle sort de l’impase où il est actuellement. Qu’il ouvre ses yeux, qu’il écrive, qu’il parle fierement kabyle, c’est à ce moment que nous pouvons dire que nous sommes sortis de la trappe.

Ces coffres de drogue que nous envoie l’Egypte, chantés par Lewnis, ceux quand on les ouvre, on y trouve les artistes dont je vous ai parlé, j’espère  que les Kabyles se sont rendus compte et qu’ils en démolissent les dogmes.

Si vous désirez revenir une autre fois chez moi, je suis desponible. 

Vive la Kabylie!

Entretien réalisé par  Mohamed Mouloudj, traduction de Smaïl Abid

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16 septembre 2009 3 16 /09 /septembre /2009 20:53


UNE DEMANDE EST DÉPOSÉE AU BUREAU DE L’APN
Les députés veulent des armes
L'Expression 17 Septembre 2009


 
 

Au niveau de l’hémicycle, la question relève du tabou. Les députés refusent d’en discuter ouvertement, de crainte d’être pointés du doigt.

Les députés réclament des armes. Selon des sources proches du dossier, le bureau de l’APN chargé des affaires des parlementaires, a reçu plusieurs demandes depuis le début da la sixième législature.
Les demandes se sont faites d’une manière individuelle et non au nom des groupes parlementaires des partis qui siègent à l’assemblée, souligne notre source. A l’heure actuelle, le bureau de l’APN semble temporiser en attendant des instructions «politiques» qui tardent à venir.
Il faut savoir que les députés sortants ont émis le même voeu mais qui n’a pas été exaucé. Les autorités affichent une grande prudence par rapport à cette question.
Donner des armes aux députés pourrait inciter d’autres corps à suivre l’exemple. Et puis, note notre source qui estime que «vu la conjoncture sécuritaire actuelle, il serait souhaitable de reporter ce débat».
Les députés qui ont déposé cette demande ont justement évoqué cette conjoncture pour étayer leur motivation. C’est le cas de cet élu du Sud du Front de Libération nationale (FLN) qui a soutenu que «le député est constamment en danger, notamment lors de ses déplacements». M.Benhamou du FNA nous confirme que le parti a introduit une demande en 2008, «mais aucune suite n’a été donnée. C’est le cas du passeport parlementaire». Cette question qui soulève une grande problématique sécuritaire divise les députés. Certains ont même dénoncé cette démarche. C’est le cas du chef du groupe parlementaire du RND.
Miloud Chorfi a soutenu que «la question n’a pas été débattue au niveau du parti. Et elle est même "loin" de constituer une priorité». Même son de cloche chez les députés du FLN. Pour M.Ayachi Daâdoua, chaque député est libre d’exiger le port d’arme.
En tout cas, réplique-t-il, ce n’est pas la tendance au niveau de l’ex-parti unique. Pour notre interlocuteur, les députés devraient se consacrer aux problèmes des citoyens. «Nous devons être au côté des jeunes, victimes du chômage et des différents maux sociaux. Malheureusement, nous avons failli à notre mission. Idem pour l’Etat. Nous avons consommé le divorce avec la base. Le résultat est là: le député a peur de son propre compatriote. C’est la honte!», souligne un député du FNA.
Au niveau de l’hémicycle, la question relève du tabou. Les députés refusent de parler ouvertement de ce dossier, de crainte d’être pointés du doigt. «Vous avez constaté toute la manipulation ayant entouré l’augmentation des indemnités des députés», rappelle un élu.
Ceux qui ont émis des demandes l’ont fait dans la discrétion. Ces derniers justifient leur réclamation par les dangers «du métier».
«Nous sommes des hommes publics, très exposés au danger surtout dans nos déplacements. L’arme est pour nous un moyen de protection, ni plus ni moins», précise un député du MSP. Les députés ne lâchent pas prise et espèrent toujours un fléchissement de la part de l’administration de l’APN. Nous avons tenté d’avoir plus d’information sur le dossier au niveau de la direction de communication de l’APN, mais nos tentatives ont échoué. «Je n’ai pas de commentaire à faire. Je ne suis pas informé», précise le premier responsable du département. Rappelons que des députés ont été auteurs d’agressions contre des citoyens.
L’ex-président d’APC de Tazmalt, Smaïl Mira, fraîchement élu lors de la cinquième législature, avait ouvert le feu avec une arme de poing sur un citoyen habitant la commune d’Ath Mellikeche.
Un député FLN de la wilaya de Annaba et son fils se sont rendu coupables d’une agression à l’arme blanche sur leur voisin. Le 25 avril dernier, le député du MSP, Omar Achouri, a agressé un policier à l’aéroport Houari-Boumediene. En juin dernier, une fonctionnaire de l’APN a été agressée par le député indépendant de la wilaya de Naâma qui lui lui a asséné plusieurs coups de poing au visage et sur le corps.

Achira MAMMERI

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16 septembre 2009 3 16 /09 /septembre /2009 20:45


Après des aînés de 75 ans, des jeunes filles enceintes, voilà maintenant des enfants devenus des Haragas !



el watan 17 sept 2009
Des harraga âgés de 10 ans en Espagne

Leur identité n’a pas été divulguée

Des harraga âgés de 10 ans en Espagne

La police espagnole a intercepté mardi un petit bateau pneumatique dans lequel se trouvaient six garcons nord-africains, certains âgés de 10 ans seulement, qui tentaient d’entrer illégalement en Espagne, a déclaré un responsable cité par la télévision publique TVE.



Les six garçons ont été recueillis à l’aube de mardi alors que le bateau pneumatique de trois mètres de long à bord duquel ils avaient fait leur traversée seuls se trouvait à un kilomètre de la côte au niveau de la ville de Tarifa, sur le détroit de Gibraltar, à la pointe sud de l’Espagne, a indiqué un responsable local de la Croix-Rouge à la télévision. Cinq d’entre eux sont âgés de 10 ou 11 ans, et le sixième dit avoir 16 ans mais paraît beaucoup plus jeune, a ajouté ce responsable. Les garçons, dont la nationalité n’a pas encore été déterminée mais qui semblent être partis du Maroc, avaient ramé pendant des heures sur leur petit bateau pneumatique, alors qu’un fort vent soufflait.

Des dizaines de bateaux transportant des clandestins venant d’Afrique et cherchant une nouvelle vie en Europe arrivent chaque année sur les côtes d’Espagne. Des enfants ou des adolescents se trouvent souvent à bord de ces embarcations, mais c’est la première fois dans l’histoire récente, selon les médias espagnols, qu’est intercepté un bateau transportant uniquement des enfants. Les autorités pensent qu’une bonne partie des milliers d’Africains qui tentent chaque année la périlleuse traversée vers l’Espagne périssent en route, de faim, de soif ou de déshydratation, mais il n’est pas possible de connaître leur nombre exact.

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16 septembre 2009 3 16 /09 /septembre /2009 20:30
el watan 17 sept 2009
Commune de Tifra : Un complexe thermal pour Hammam Sillal
Commune de Tifra : Un complexe thermal pour Hammam Sillal

Le wali vient de s’engager à prendre en charge la réalisation dudit projet sur le budget de wilaya. Toutes les installations pour une pratique thermale avantageuse y sont prévues.



La station thermale Hammam Sillal (commune Tifra) a enfin, après plusieurs années d’attente, bénéficié du projet tant espéré par l’autorité communale et la population : son aménagement en véritable complexe thermal. Lors de sa visite dans la commune, le 3 septembre passé, le wali s’est engagé à prendre en charge la réalisation dudit projet sur le budget de wilaya. L’étude volumineuse réalisée en 1992 sur la faisabilité et la viabilité de ce complexe touristique et thermal et l’avant-projet d’une étude additive ficelée par l’exécutif actuel ont convaincu le wali ainsi que la P/APW du bien-fondé de ce projet de développement qui va sans conteste donner un nouveau visage à la commune. Bâtie au creux d’une ravine rocheuse, au pied d’une montagne que domine le mausolée de de Sidi Mḥend Aḥeddad,, le saint patron des lieux, cette station est fréquentée pour le traitement des affections dermatologique, psychiatrique et rhumatologique. Mais, elle est surtout connue pour sa propreté et ses eaux très chaudes. Ses structures d’accueil, en dépit des multiples aménagements et liftings dont elles ont bénéficiés depuis des années, demeurent rudimentaires et ne répondent pas aux attentes et aux exigences des curistes.

« C’est un grand acquis pour notre commune dont le développement dépend essentiellement du tourisme thermal. Notre station va faire partie désormais des zones de développement du tourisme hors balnéaire dans notre wilaya »nous déclare le P/APC, Meksem Rabeh. Le près d’un million de dinars de rentrée annuelle qu’elle engrange actuellement paraît insignifiant par rapport à son importance socioéconomique. Par ce projet, l’autorité communale veut quintupler sinon décupler ces rentrées financières. Le projet en question dont a bénéficié cette station est de grande envergure. Les maquettes du futur complexe thermal exposées dans le hall du siège provisoire de l’APC ont enthousiasmé tous ceux qui les ont vues. « Enfin, un projet sérieux et d’avenir » laisse échapper un citoyen surpris, debout devant les planches exposées. La station qui exhibe maintenant un aspect modeste va être rebâtie de fond en comble sur 18 mètres de hauteur. Six parties en tout vont constituer la nouvelle structure qui va rayonner sur toute la région : trois sous-sols, un rez-de-chaussée et deux étages.

Toutes les installations pour une pratique thermale avantageuse et plaisante y sont prévues : saunas, baignoires, douches, salle de kinésithérapie, salle d’aérobic, cafétéria, 9 chambres pour l’hébergement, un mini-centre commercial et un parking. Bref, rien n’est oublié pour rendre le séjour des curistes des plus agréables. « Le gros de l’étude est déjà fin prêt, mais il reste des choses à examiner tels l’électrification, le chauffage, l’évacuation des eaux…. Enfin, il faut penser à tout pour donner sa chance à ce complexe qui nous tient tous à cœur », indique le vice-président d’APC, Kouche Rachid. Des projets d’accompagnement sont déjà à l’étude pour rentabiliser au maximum le futur complexe. Ouverture d’une route qui va relier le secteur Ikedjane au chef-lieu de commune, aménagement urbain au chef-lieu, création de nouvelles lignes de transport : Sillal-Béjaïa ; Sidi-Aïch-Adekar…. Car les lignes actuelles sont très insuffisantes. Certains de ses projets d’accompagnement sont déjà en cours de réalisation à l’exemple de l’aménagement urbain du chef-lieu. L’APC semble vouloir mettre le paquet pour concrétiser ce projet, vieux souhait de toute la population de la région. « Avec la réalisation de ce complexe thermal dont les travaux vont débuter en 2010, notre espoir est grand de voir enfin le chef-lieu devenir un pôle économique et touristique important qui contribuera réellement au désenclavement de notre région » affirme le P/APC.



Par Boualem B.


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15 septembre 2009 2 15 /09 /septembre /2009 20:22


Sit-in des enseignants devant la wilaya
Les enseignants du lycée Tala Maâli de Zemmouri ont organisé un rassemblement avant-hier devant le siège de la wilaya de Boumerdès pour dénoncer les « conditions lamentables » prévalant dans leur établissement. « L’établissement, construit suite au séisme de 2003 en préfabriqué est dégradé.

Les portes des classes ne se ferment pas. Les vitres des fenêtres sont cassées et l’eau ne coule plus dans les robinets. Il n’y a pas de chauffage et parfois on est privé même de l’électricité. Nous ne pouvons plus travailler dans de telles conditions. C’est insupportable », disent-ils. « On nous a promis l’ouverture du nouveau lycée cette année, mais le projet n’est pas encore sorti du sol », s’indigne un enseignant qui s’interroge sur le « sort des aides affectées à cette localité pour sa reconstruction après le séisme ». « L’année passée le lycée a fonctionné avec 6 classes roulantes. Car nous avions 22 salles pour 28 divisions pédagogiques. Cette année nous avons 9 classes roulantes », ajoutent-ils. Ils dénoncent également l’ouverture d’une annexe pour une dizaine de classes, construite en préfabriqué au niveau de l’école de Frichco, « un endroit isolé situé à trois kilomètres du chef-lieu de la commune ». « Personne ne peut aller enseigner dans cette annexe, et même les parents d’élèves refusent d’y envoyer leur enfants », indique une enseignante. « Déjà l’année passée les lycéens débutaient leurs cours à 9h et terminaient à 15h à cause du manque de transport. Ce sera plus difficile cette année avec des cours jusqu’à 17h. Cette annexe n’est pas dotée de laboratoires, ni de cantine », explique-t-elle. Hier aucun responsable de la wilaya n’a daigné recevoir ces enseignants. Par ailleurs le Cnapest de Boumerdès relève que « la rentrée scolaire dans la wilaya est catastrophique ». « Elle est caractérisée par un manque d’infrastructures, d’encadreurs et d’enseignants dans certaines matières, telles que l’informatique et les mathématiques. Pour camoufler le déficit en infrastructures, les responsables créent des annexes. Cette année on n’a réalisé aucun lycée. Celui de Bordj Menaïel a été construit à la place du lycée Saïd Kentour, qui s’est effondré suite au séisme de 2003, et que celui de Figuier n’est pas encore achevé », note le chargé de communication dudit syndicat, M. Ben Amara Moussa. Il cite les communes de Timezrit, Cap Djinet, Si Mustapha qui ne disposent pas de lycées. Le Cnapest réclame la participation des enseigants dans l’établissement des cartes scolaires et refuse « le jumelage de classes de différentes spécialités en une seule division pour les soumettre au service d’un seul enseignant au lieu de procéder à des recrutements. Un procédé anti-pédagogique et à la limite du légal ».



Par Ramdane Koubabi

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15 septembre 2009 2 15 /09 /septembre /2009 20:13



el khabar 16 sept

 elkhabar



Et trop de Haragas !....

L’Italie fournira 6 frégates militaires à l’Algérie

 Le ministère algérien de la défense nationale vient de conclure un important contrat avec l’Italie, pour un montant , estimé à 4 milliards d’euros. ...

 


Ainsi que des émeutes dans l'air, d'où 100 hélicoptères de divers types



TSA

Ils seront assemblés en Algérie : le ministère de la Défense acquiert 100 hélicoptères auprès de l'Italie

Par  sonia lyes , le  16/09/2009  |  

Le groupe italien AgustaWestland a remporté, fin juin, un méga-contrat avec le ministère de la Défense nationale, selon l'édition du mois d'octobre du magazine spécialisé Air Force Monthly (AFM). Le contrat prévoit la fourniture d'un maximum de 100 hélicoptères de divers types qui seront assemblés en Algérie, selon le magazine. Ces hélicoptères sont destinés à équiper la Gendarmerie nationale, la Police et la Protection civile, selon AFM. Le groupe italien de défense n'a pas souhaité commenter l'information.

Ce contrat fait partie d'une commande globale lancée en 2008 par le ministère de la Défense nationale. Auparavant, la Gendarmerie, la Police et la Protection civile achetaient séparément leurs hélicoptères auprès de fournisseurs différents. Mais le gouvernement algérien a décidé de confier les acquisitions d'hélicoptères au seul ministère de la Défense, avec un fournisseur unique, l'italien AgustaWestland et l'exigence d'un assemblage local des appareils achetés. L'objectif étant de développer un embryon d'industrie aérienne algérienne, selon AFM.

Le groupe italien avait déjà remporté un contrat avec la marine algérienne concernant la fourniture de six hélicoptères de type AW101s et quatre Super LYnx 300 Mk 130s pour les opérations de recherche et de sauvetage en mer. Le premier Super Lynx serait sorti d'usine en juillet dernier et devrait être livré prochainement.

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14 septembre 2009 1 14 /09 /septembre /2009 21:33



      Si l'on se réjouit du revêtement des routes Taskeriout-At Smaïl et Taskeriout- Tizi n'Berber, il reste comme un goût d'inachevé tant que celle reliant Bordj-Mira à At Mbarek reste dans un état déplorable, quasiment impraticcable ! Lors d'une récente mission exploratoire en vue d'un jumelage d'At Mbarek avec une commune européenne, les visiteurs ont préféré descendre de voiture et continuer leur chemin à pieds. Il est urgent que les responsables de la wilaya de Béjaia complète leur travail et mettent fin au calvaire de transport des At Mbarek.


Adrar n Ait Mbarek

Bejaia - Le Pont de Bordj-mira, et la montagne d'ait mbarek, Taskriout







Taskeriout et Aït Smaïl
Le revêtement du chemin de wilaya (CW 6) réjouit toute la population




 

Bien que les travaux actuels d’élargissement touchent presque à leur fin, le bitume a déjà pris place depuis plus d’un mois à partir de Bordj Mira et qui est actuellement à 50 % de réalisation et sa cadence connaît quelques fois  de petites ruptures.

Les travaux d’aménagement et d’élargissement sont lancés depuis plus de 2 mois sur une distance de 12 km. Cela fait quelques années que la population endure les souffrances et le marasme d’un chemin détérioré et dégradé et qui devenait de plus en plus imparti par le débordement des eaux des caniveaux pendant les grandes crues d’une part et la médiocrité de son dernier revêtement qui a aussitôt donné des signes de vétusté d’autre part.

Bien que les travaux actuels d’élargissement touchent presque à leur fin, le bitume a déjà pris place depuis plus d’un mois à partir de Bordj Mira et qui est actuellement à 50 % de réalisation et sa cadence connaît quelques fois  de petites ruptures.

Tout de même la population ne s’alarme pas car elle est consciente que c’est une question de quelques jours de patience. En revanche, la bonne fluidité de circulation n’est pas assurée tout le long du CW 6. En effet, à Anekouche, la chaussée est rétrécie par des constructions privées qui ont fait que le béton prend la place du bitume, même scénario constaté presque tout le long de l’entrée du village Taregregt.

Du point de vue de la population l’unique alternative et de procéder à la déviation de ce chemin. Sur ce, l’APC de Aït Smaïl a déjà procédé à l’étude de la déviation en 2002 sur les hauteurs de Ankouche et dont le dossier est resté sans suite à ce jour au niveau de la direction des travaux publics  (DTP) de Bgayet. Dans ce même contexte, d’autres villages de la région subissent encore depuis des années le marasme de chaussées dégradées qui deviennent de jour en jour impraticables. Le cas le plus touchant est celui du village Rif qui est traversé par un tronçon de près de 5 km et qui est déformé presque dans sa globalité, ce qui cause un calvaire pour le déplacement des habitants au quotidien, de même qu’ils attendent une aide des autorités concernées.

Mustapha Safer



Aménagements à Taskeriout

Le chemin de wilaya reliant la commune de Taskeriout à celle de Tizi N’Berber a bénéficié d’un projet pour son aménagement et revêtement.



Ce tronçon routier de 13 km revêt une grande importance pour ces deux communes, car il permet de désenclaver, outre de nombreux villages d’Aït Smaïl, la région la plus peuplée de la commune de Taskeriout, celle d’Aït Idris qui abrite plus de 6 000 âmes. Comme il permet aussi de désengorger la RN 9, reliant Béjaïa à Sétif et servir de raccourcis pour certaines destinations et de détours en cas de fermeture de la RN 9, notamment pour cause d’affaissements de terrain comme cela a été vérifié sur le tronçon qui va du chef-lieu de la commune de Darguina jusqu’au village d’Aït Anane. « Nous considérons ce projet comme un acquis inestimable pour notre commune au vu de son importance. Le chantier débutera incessamment et l’entreprise chargée des travaux vient d’être désignée » nous déclare le P/APC de Taskeriout.



Par Akli Malek

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