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21 novembre 2009 6 21 /11 /novembre /2009 21:34


Liberté, Chronique (Dimanche 22 Novembre 2009)

Patrie et indépendance identitaire
Par : Mustapha Hammouche

Son arabisme ne lui aura pas été d’un grand secours. Hadjar a été, par deux fois, convoqué au ministère des Affaires étrangères égyptien et son ambassade a été attaquée. Dans son aveuglement, l’État égyptien n’a en rien tenu compte de ce compagnonnage idéologique qui, jusqu’ici, lui assurait l’obédience de la plupart des dirigeants algériens.
Après l’accueil pour le moins inamical réservé à l’équipe nationale algérienne au Caire, l’escalade verbale confirme la préméditation de l’agression. À l’évidence, l’élimination de l’Égypte est conçue comme inacceptable parce qu’elle est le fait de l’Algérie. Ce crime de lèse-tutelle trouve, aux yeux des Égyptiens, sa justification dans la légende du rôle des Arabes, en général, et de l’Égypte, en particulier, dans la guerre de libération nationale. Un rôle créé par l’histoire officielle post-indépendance pour légitimer un amarrage contre nature à un Orient décadent. Les loosers ont aussi besoin de leur souffre-douleur. Cela les rassure : ils peuvent encore faire peur… ou faire mal.
Nos voisins, qui nous ont servi de base de repli et de plateforme opérationnelle à l’ALN, n’en revendiquent pas autant qu’un pays qui a juste permis au FLN d’ouvrir un bureau pour y abriter l’aile baathiste du mouvement de la direction extérieure de la révolution. Ce n’est pas un hasard si Nasser a délégué son chef des services secrets comme interlocuteur de la Révolution algérienne. Ali Dib, qui, pour poursuivre sa mission, s’installa après l’indépendance comme ambassadeur d’Égypte à Alger. Depuis, les dégâts, notamment en matière d’éducation, de gestion de culte, d’écriture de l’histoire, de consommation culturelle, n’ont pas cessé de s’accumuler. Nous commencions à leur ressembler. Ce sentiment fabriqué de dette égyptienne légitimait notre disponibilité, notre solidarité et… une grande partie de notre dette russe. Tandis que le statut arbitraire de fraternité justifiait l’invasion idéologique baathiste et islamiste et plus tardles charters d’adolescents pour Kandahar organisés par les… Frères musulmans d’ici et de là-bas. Le pan-nationalisme arabiste a préparé le terrain du transnationalisme islamiste.
Observons le silence baathiste et islamiste dans cette affaire ! D’habitude, si prompts à enfourcher le cheval de la patrie offensée, si habiles à surfer sur les erreurs du pouvoir, ils font profil bas devant cette bagarre à sens unique. D’abord, l’enjeu sportif n’était pas du registre de la stratégie de recrutement islamiste : ils croient que le stade est le concurrent de la mosquée ; ensuite, le nationalisme, dont la renaissance a été accélérée par l’épreuve du Caire, est l’antidote des idéologies transfrontalières.
Constatons donc la paralysie politique de pans entiers des forces politiques et sociales quand il s’agit de réagir à une “fraternelle” agression ! Et apprécions le danger du piège géopolitique d’une identité empruntée. Ceux qui ont plus d’arabité que d’algérianité ou plus d’islamité que d’algérianité ne peuvent concevoir la primauté du principe de “l’Algérie avant tout”. Écoutez-les nous appeler au calme pendant qu’on nous agresse. Exactement comme ils l’ont fait au début des années 1990, devant le péril intégriste. Puisse donc cette épreuve nous faire saisir l’urgence d’une indépendance identitaire.

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21 novembre 2009 6 21 /11 /novembre /2009 20:51
ddk

Imceddalen (Ex.M’chedallah)
Sanglier : un fléau ravageur pour l’agriculture

Arrivé à un certain âge, le mâle s’isole de la horde et devient ainsi “solitaire” cet état est bien connu des chasseurs qui le redoutent plus que la femelle car le mâle est armé de deux canines proéminentes et acérées, telles des poignards de chaque côté du hure, ajoutés à son exceptionnelle puissance physique et sa vitesse, il peut dépasser facilement les 60 km/h, il charge sans hésitation dès qu’il est dérangé, surtout en période d’accouplement, il fonce directement sur sa cible qu’il rate rarement et il n’y a que la balle qui peut l’arrêter et venir à bout de son épiderme aussi résistant qu’un pneu. Le sanglier n’a que deux prédateurs, l’hyène qui s’attaque même aux adultes et le chacal qui arrive à chaparder quelques petits, mais la reproduction de ces herbivores dépasse de très loin celles des carnivores prédateurs en plus des maladies qui réduisent sensiblement ces deux races de carnivores, telle que la rage.

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21 novembre 2009 6 21 /11 /novembre /2009 20:45
TSA
Algérie-Egypte : les Marocains ont soutenu les Verts
Les Marocains ont soutenu l’Algérie dans sa confrontation avec l’Egypte mercredi à Khartoum. La télévision Medi1sat a montré jeudi et vendredi des images de Marocains qui ont suivi le match en direct, applaudissant à chaque action algérienne. « J’ai soutenu l’Algérie parce qu’elle joue mieux que l’Egypte. En plus, les Algériens sont nos voisins », a déclaré un jeune marocain. « Je supporte l’Algérie qui va représenter l'Afrique du Nord  au Mondial 2010 », a dit un autre supporter à la fin du match.
 
L’Algérie a maté l’Egypte (1-0) mercredi à Khartoum en match d’appui et s’est qualifiée à la Coupe du Monde 2010, après 24 ans d’absence. Les Verts ont donné une leçon de football et de dignité aux Egyptiens qui les ont agressés jeudi et samedi derniers au Caire lors du match de la 6e et dernière journée des qualifications au Mondial et à la Coupe d’Afrique des Nations 2010.
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21 novembre 2009 6 21 /11 /novembre /2009 20:16
el watan 22 nov

Pourquoi le clan Moubarak provoque l'Algérie

Hystérie politico-médiatique égyptienne

Pourquoi le clan Moubarak provoque l’Algérie

Le régime de Moubarak a d’ores et déjà commencé à chauffer les tambours de la campagne présidentielle pour l’élection présidentielle de 2011. En parfait stratège, le président Moubarak tente par tous les moyens de faire accepter l’idée d’imposer son fils comme successeur légitime. Une qualification de l’Egypte pour le Mondial de 2010 aurait certainement remonté le moral des Egyptiens et c’est sans doute la raison pour laquelle le président égyptien a vécu cette défaite comme un drame personnel. L’escalade entre Moubarak et Bouteflika cache certainement des dessous politiques qui dépassent largement le cadre sportif.



Mais ce qui apparaît évident de prime abord est que le clan du président Moubarak espère faire oublier les tracas quotidiens des Egyptiens en retournant l’opinion contre un ennemi commode : l’Algérie.

Hosni Moubarak, le père-président

Dans un livre paru récemment aux éditions La Découverte et intitulé Egypte, l’envers du décor, Sophie Pommier estime que Moubarak représente en Egypte la figure du « père- président » toujours omniprésente en Egypte depuis Gamel Abd Nasser. « Voulant sortir de cette image ‘soviétique’ du régime, limitera rapidement les affiches et autres effigies à sa propre gloire », explique-t-elle.Il faut dire qu’immédiatement après la mort de Sadate, Moubarak a profité de sa place confortable au sein des cercles militaires pour enfin passer du statut de vice-président à celui tant convoité de chef de l’Etat. Avec le temps, Moubarak va utiliser le parti présidentiel, le PND, pour s’assurer une emprise politique et mettre en place l’impossibilité de se faire remplacer par un quelconque outsider. Comme le déclare Sophie Pommier, « le PND, qui compte aujourd’hui 2 millions de membres, est le passage quasi-obligé pour obtenir un siège au Parlement ». Le président Moubarak lui-même n’a pas dit s’il se présenterait pour un sixième mandat ni dit ouvertement s’il voulait passer le relais à son fils.

Gamel Moubarak, l’héritier incontournable

Depuis plusieurs années déjà, la « question politique » majeure qui obsédait les Egyptiens était de savoir qui succédera à Hosni Moubarak lorsque celui-ci ne pourra plus assumer ses fonctions ? Sophie Pommier souligne, à ce propos, que « la perspective d’une succession dynastique semble d’autant plus plausible qu’elle est en phase avec une tendance observée dans l’ensemble du monde arabe, y compris dans des systèmes non monarchiques ». Pour certains, Hosni Moubarak aurait choisi de briguer en 2005 un cinquième mandat de six ans une manière de « mieux préparer le terrain » de sa succession. Gamal Moubarak, marié à Khadidja, fille d’un célèbre homme d’affaires local, est aujourd’hui le mieux placé pour prendre le pouvoir et perpétuer le travail de son père. Le 1er novembre dernier, dans un long discours devant le PND dont il est secrétaire général adjoint, Gamal Moubarak, 45 ans, a pris une posture de présidentiable même s’il n’a pas formellement annoncé de candidature pour le scrutin prévu en 2011. Déjà, les « Gamal boys » ont engagé une campagne pour le maintien de la famille Moubarak au pouvoir. L’opposition égyptienne, de son côté, redouble d’activité pour proposer une alternative à ce qu’elle appelle une transmission « héréditaire » du pouvoir qui perpétuerait l’emprise du « clan » Moubarak. « Moubarak = répression, Gamal = corruption » est en ce moment le slogan le plus en vogue en Egypte.

Suzanne Moubarak, l’épouse discrète

Discrète, la femme du président Moubarak se charge des questions de l’enfance et de la femme. Elle espère donner une bonne image de sa famille à travers les actions caritatives. Pendant que la médiation égyptienne n’arrivait pas à trouver une issue favorable à l’agression israélienne contre Ghaza, l’épouse du chef de l’Etat égyptien essaye de sauver la face : « Tous les Egyptiens sont frustrés, en colère, quand ils voient les images des souffrances palestiniennes sur al Jazeera. Tout le monde veut que cette tragédie s’arrête, qu’un cessez-le-feu durable soit conclu. Il y a urgence à agir pour protéger la vie des civils. Cette guerre ne connaîtra pas de vainqueur. Nous serons tous perdants. Comment pourra-t-on ensuite sérieusement reparler de processus de paix ? Je ne crois pas qu’un pays arabe puisse être déstabilisé, car la grande majorité des Arabes veut la paix », a-t-elle dit.

Alaâ Moubarak, le sulfureux

Le fils aîné de Hosni Moubarak, Alaâ, d’habitude discret et n’aimant pas être sous les feux de la rampe, s’est distingué ces derniers jours par des propos haineux contre les Algériens. Intervenant sur une chaîne de télévision locale, il a estimé que l’Egypte devait « prendre position » et riposter « à la terreur et à l’hostilité » subie par les Egyptiens à Khartoum. Alaâ Moubarak a jugé « impossible que nous, Egyptiens, supportions cela. Nous devons nous dresser et dire ’assez’ ». « Si vous insultez ma dignité (...) je vous frapperai à la tête », a-t-il encore lancé. Sur la chaîne égyptienne Nile TV, le fils du président Hosni Moubarak a traité les Algériens de « mercenaires, juifs et terroristes ». Le coup médiatique du fils aîné du président est réussi. Sur le réseau social Facebook, un millier d’internautes égyptiens lui demandaient de se présenter aux élections, voyant en lui un « homme qui n’accepte pas l’humiliation du peuple égyptien ». Ces faits prouvent, si besoin est, que la campagne médiatique immonde qui sévit en ce moment est le seul fait d’une famille qui veut rester au pouvoir.



Par Amel B.

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21 novembre 2009 6 21 /11 /novembre /2009 17:02

Yahia, un intello avec l’art et la manière

PUBLIE LE : 04-11-2009 | 18:00 | PAR Farid Aït Saâda (Le Buteur)

Il joue de la guitare, parle plusieurs langues, lit des livres

D.R.
D.R.

 

Alors que l’idée reçue concernant le quotient intellectuel des footballeurs est que ces derniers ont un soulier dans leur tête au lieu d’un cerveau et que toute leur intelligence est contenue dans leurs pieds, Anthar Yahia vient démentir ce préjugé un peu trop sévère, même s’il comporte une part de vérité. En effet, le défenseur central de Bochum est un passionné des arts et de la culture et il se fait un devoir d’occuper son temps libre, lorsqu’il en a la possibilité, pour apprendre ou lire. «Dans la vie, il y a le football, mais il y a également autre chose. Lorsque je suis parmi un groupe, on ne peut pas parler éternellement de ballon. Chacun a ses centres d’intérêt et ses sujets de discussion, suivant sa culture générale ou en relation avec le métier qu’il pratique. J’aime participer à toutes les discussions, m’enrichir personnellement et enrichir le débat. C’est pour cela que je m’intéresse à tous les domaines de la vie», nous explique-t-il.

«Je suis très Internet»
Bien sûr, de notre temps, il existe ce formidable réseau de communication et d’information qu’est l’Internet. Yahia en est un mordu et cela lui a permis d’être à la page au point de vue de l’actualité. «Je suis très Internet. Cela m’a beaucoup apporté. Je pense sincèrement que c’est un moyen formidable pour que tout le monde apprenne et se cultive», insiste-t-il. Il ne se déplace jamais sans son ordinateur portable MacBook («car je préfère les MacIntosh aux PC») et c’est pour lui sa fenêtre quotidienne sur ce qui se passe dans le monde. Il s’informe ainsi de l’actualité du football algérien, notamment en consultant chaque jour le site du journal Le Buteur, de celle de ses coéquipiers en sélection, de ce qui se passe dans le monde, des développements politiques au Moyen-Orient -sa passion-, ainsi que des nouveautés de la musique.

«Je parle couramment  le français, l’allemand, l’italien  et l’anglais»
En sus de l’Internet, Anthar Yahia est un passionné des langues. «Dites-vous bien que je parle couramment le français, l’allemand, l’italien et l’anglais, en plus de l’arabe dialectal, bien sûr, et que je suis en phase avancée dans l’apprentissage de l’espagnol», nous a-t-il révélé, non sans fierté. Le français et l’anglais, c’était à l’école. De plus, il a perfectionné son anglais au contact de joueurs internationaux des différents clubs par où il est passé. L’allemand, c’est un peu à l’école, mais il s’est perfectionné, une fois arrivé à Bochum, en achetant un manuel de langue
français-allemand très pratique grâce auquel il a pu apprendre et assimiler 6000 mots et expressions courantes. «L’avantage de ce manuel est qu’il est entièrement illustré, ce qui veut dire qu’on met le dessin ou la photo de l’objet dont on donne la traduction. Ainsi, c’est plus facile pour la mémoire de retenir les mots et les notions.»

«Là, je suis en train d’apprendre l’espagnol»
L’italien, c’est lors de son passage au centre de formation de l’Inter de Milan, où des cours de langue étaient prodigués aux étrangers. «Je parle l’italien couramment. A Nice, je n’étais pas loin de la frontière italienne et il y a des Niçois qui parlent l’italien. A Bochum, je mange souvent dans un restaurant italien et cela me permet de pratiquer la langue. En sélection, je l’utilise parfois pour discuter avec Ghezzal et Meghni.» Conclusion logique : au stage de Coverciano, la semaine prochaine, il ne sera pas du tout dépaysé. Quant à l’espagnol, il l’apprend sur une initiative personnelle. «Connaissant l’italien, j’ai décidé de m’attaquer à l’espagnol car les deux langues se rapprochent beaucoup. J’ai acheté des manuels et des supports sonores qui m’ont beaucoup aidé. Je ne peux pas dire que je maîtrise cette langue autant que les autres, mais ça vient petit à petit. Déjà, je peux tenir de petites conversations. A Bochum, nous avons un joueur d’origine argentine et un autre à moitié chilien et j’essaye de communiquer en espagnol avec eux pour me perfectionner.»

«Ma passion : l’histoire  du Moyen-Orient»
Si Yahia est passionné des langues, c’est parce qu’il est aussi très porté sur l’histoire des civilisations. Son dada : l’histoire du Moyen-Orient. «Cela me passionne beaucoup. Je suis à chaque fois curieux de découvrir de nouveaux secrets sur cette région, des éclairages sur les enjeux des multiples luttes qui l’ont secouée à travers l’Histoire.» En ce moment, son livre de chevet est Les secrets du Mossad. En sus de tout cela, il se passionne également pour tout ce qui a trait à la préparation physique d’un athlète. C’est avec un grand intérêt qu’il a dévoré un livre que lui a offert son kiné lorsqu’il était soigné pour sa blessure au genou, le mois de mars dernier. «C’est un manuel qui retrace tout ce que devrait faire un sportif six semaines avant le début d’une grande compétition. Ses indications sont appliquées par toutes les sélections allemandes, dans toutes les disciplines sportives. J’ai beaucoup appris sur la préparation foncière en le lisant.» Bien sûr, le côté spirituel n’est pas absent dans la bibliothèque de l’international algérien. Il a lu, ces derniers temps, un livre sur les secrets et la rétribution de la prière de Mohamed Al Ghazali.

«Oui, je joue de la guitare, comme Bilic»
La cerise sur le gâteau pour Yahia est un art qu’on ne lui soupçonnait pas : la musique. La guitare, il adore ! Toutes les guitares, qu’elles soient sèches ou bien électriques. D’ailleurs, il en a trois chez lui ! «J’ai toujours eu un penchant pour la guitare. J’en grattais en amateur, mais j’ai tellement aimé que j’ai pris carrément des cours ici, en Allemagne», nous a-t-il confié. Et ce n’est pas sans fierté qu’il a joué quelques morceaux sur sa guitare sèche. On a lu, à ce moment-là, toute sa passion dans ses yeux illuminés. «Là, je ne peux m’empêcher à penser à Bilic. Il en a tout le temps une, même aux entraînements.» Slaven Bilic, c’est le sélectionneur actuel de la Croatie. Il est musicien au sein d’un groupe de rock, Rawbau, et il donne régulièrement des concerts. Il joue de la guitare parfois même devant ses joueurs. «Pour l’instant, j’essaye de me perfectionner à la guitare sèche. Après, je m’attaquerai à la guitare électrique qui est un peu plus compliquée», promet Yahia. Bref, voilà un footballeur pour qui les arts ne sont pas des disciplines venues d’une autre planète…
F. A-S.



Lire la suite: http://www.lebuteur.com/reportage/actualites/yahia-un-intello-avec-lart-et-la-maniere#ixzz0XWnNBYJo
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21 novembre 2009 6 21 /11 /novembre /2009 01:04



http://www.youtube.com/watch?v=dVuUPNAlHfo&feature=Responses&parent_video=FIKjxSVNPZo&index=0&playnext=1&playnext_from=RL



Female genital cutting (FGC) is deeply entrenched in Egyptian society and culture.1 Both Muslims and Christians throughout the country practice FGC, which (contrary to popular assumptions about it being a custom of the poor and uneducated) is embraced by people at all levels of Egyptian society, without respect to social class, educational background, or religious affiliation. The most recent Egypt Demographic Health Survey (EDHS)

revealed a nationwide prevalence rate of 97 percent among ever-married women. In addition, the survey indicated widespread support for the practice, claiming that 87 percent of Egyptian women support its continuation.

There are three main categories of FGC in Egypt, although there are other variations.

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21 novembre 2009 6 21 /11 /novembre /2009 00:53

Prevalence of female genital cutting among Egyptian girls



Female genital cutting (FGC) is the collective name given to traditional practices that involve partial or total cutting away of the female external genitalia whether for cultural or other non-therapeutic reasons. In Egypt, the result of the Demographic Health Survey in 2000 revealed that 97% of married women included in the survey experienced FGC.  Another study, carried out by the Egyptian Ministry of Health and Population in 2003, reported that 94.6% of married women had been exposed to FGC and 69.1% of those women agreed to carry out FGC on their daughters.
In addition to the devastating psychological effects of FGM on girls, there are several physiological problems that may surface. The woman is vulnerable to infections and even haemorrhage during and as a consequence of this procedure. With the imposed ban, many resort to the services of quacks, thus leading to medical negligence, poor standards of hygiene and further risk of infection. According to a study led by the World Health Organization in 2006, all types of FGM posed an increased risk of death to the newborn and mothers delivering by caesarian. In fact, the risks of postpartum haemorrhage were higher for those who had undergone an FGM. It is also believed that 10 to 20 per cent of newborns in Africa die during delivery because of the mothers having had genital mutilation.

 

 

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20 novembre 2009 5 20 /11 /novembre /2009 22:01


DÉRIVE DES MÉDIAS ÉGYPTIENS : appel au massacre des Algériens vivant en Égypte en direct à la télé après la défaite des pharaon face aux verts 

http://www.youtube.com/watch?v=AdMci5AedSs&feature=player_embedded

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20 novembre 2009 5 20 /11 /novembre /2009 21:43




Dans l’émission Elbit Bitek diffusée jeudi soir
Les acteurs, chanteurs et réalisateurs égyptiens expriment leur haine

Des appels de partout parviennent à l’émission Elbit Bitek sur les écrans de la chaîne égyptienne  El Masria qui a duré jusqu’au matin. Et ce, dans le but d’exprimer leur haine, leur mépris envers le peuple algérien, envers l’équipe nationale de football en particulier pour sa qualification au Mondial 2010 en Afrique du Sud  au dépens des Pharaons. L’animatrice de l’émission s’est arrêtée pour lire un communiqué qui lui est  parvenu. Toute heureuse, elle annonce le  décès de 14 Algériens en Algérie, suite aux manifestations qui ont suivi la victoire des Verts. Pour elle, rien ne peu apaiser les Egyptiens que de voir tous les Algériens crever. Quant au comédien Youssef Chaaban, il a déclaré qu’il a été invité par l’Algérie, mais qu’il a décidé de rompre toute relation, “cinématographique ou autres avec l’Algérie».

Sabrine, Farouk El-Fichaoui (acteurs), Ahmed Saker (réalisateur) et les chanteurs Ihab Tawfik, Omro Diab et Chirine ont déclaré au cours de cette émission que “tous les Algériens sont des terroristes”. Ils poursuivront que sur le plan cinématographique “dans ce domaine, les Algériens ont un bas niveau, car pour produire un feuilleton, il leur faut des années”.

Cependant, le seul souhait des Egyptiens, c’est de  “voir l’équipe nationale échouer dès sa première rencontre, dans le cadre des éliminations de la Coupe du monde, et  ce jour-là, ce sera la victoire des Egyptiens” ont-ils souhaité.

Kahina Idjis

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20 novembre 2009 5 20 /11 /novembre /2009 21:22


L'Algérie qui gagne n'est pas:
            - celle projetée par l'exécrable ENTV qui a osé nié,à l'heure de l'internet, les agressions sauvages de l'équipe nationale  et l'assassinat des jeunes fans algériens par les égypto-holligans;
           - celle qui adopte le ``profil bas`` devant un pays qui, non seulement était derrière l'assassinat de notre héros national Abane Ramdane, mais aussi à l'origine de l'invasion hillalienne et des frères musulmans;
           - celle qui se laisse berner par les feuilletons égyptiens, et qui sert d'ELdorado aux ``coopérants arabisants`` d'hier et au Djezzy d'aujourd'hui;
          - celle qui se laisse humilier parce que ne maîtrisant pas la langue arabe décrétée du temps de la dictature appuyée par le panarabiste Nasser;
          - celle d'un clan de l'ouest ou de l'est;
          - celle qui traite ses voisins Marocains en ennemi et qui traite l'Egypte de pays frère;
           - celle qui traite les compatriotes expatriés ou les bi-nationaux de non Algériens;
           
L'Algérie qui gagne est :
            - d'abord cette Algérie qui se reconcilie avec sa diversité en fonctionnant en mode fédéraliste où toutes ses composantes et ses régions sont représentées dans l'équipe nationale;            -
            - cette Algérie  fière de son Saifi l'Algérois, son Anthar Yahia le Chawi de Sedrata, son Karim Ziani le franco-algérien de Sèvres, son Hassan Yebda le Kabyle de Saint-Maurice, son Lounès Gaouaoui le Kabyle de Tizi-Ouzou, son Fawzi Chaouchi le Kabyle de Bordj-Menael, son Karim Matmour le franco-algérien de Strasbourg, son Yazid Mansouri le franco-algérien de Revin, son Madjid Bougherra le franco-algérien de Longvic, son Abdelkader Ghezzal le franco-algérien de Décines-Charpieu, son Nadir Belhaj le franco-algérien de Saint-Claude, son Rafik Halliche l'Algérois, etc....;
            - cette Algérie qui s'assume,  fière et digne de son passé, de son amazighité, et qui n'affiche aucun complexe ni timidité face à un pays qui ne lui a rapporté que des troubles (lui avait envoyé frères musulmans et terrorisme islamiste; l'avait entrainé dans deux guerres avec Isreal, ...);
            - cette Algérie qui, sur le site internet diffusant la rencontre Algérie-Egypte, a affiché fièrement les trois drapeaux d'Afrique du Nord : Algérie, Maroc et Tunisie, en gratitude à ses vrais frères et voisins de toujours qui, face à l'Égypte, n'ont ni négocié, ni ménagé leur soutien indéféctible aux Verts;         
             - enfin ce pays des Hommes Libres dont l'histoire remonte plus loin que celle des Pharaons, et qui avaient permis à un des leurs Sheshong de monter sur le trône de la 22ième dynastie égyptienne en 950 Avant-JC.
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Présentation

  • : La confédération des Iflisen Umellil
  • : Un des objectifs est de reconstituer la grande confédération qui regroupait les 14 aarchs des Iflisen Umellil avant la colonisation française. Le but est de rétablir les liens interrompus et de promouvoir la solidarité inter-arche. Nous visons également à consolider les liens entre la diaspora et leur région d'origine. Réecrire l'histoire des Iflisen et préserver leur patrimoine matériel et immatériel .
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