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5 avril 2010 1 05 /04 /avril /2010 18:44

  el watan

De nombreuses espèces exclues de la Cites : Quel avenir pour le corail algérien ?

De nombreuses espèces exclues de la Cites : Quel avenir pour le corail algérien ?

L’inscription des coraux rouge et rose à la Convention sur le commerce international des espèces sauvages menacées a été rejetée. De nombreuses espèces animales restent menacées d’extinction.

 



Il restait un espoir, il n’en reste plus aucun ; après le thon rouge, c’est au tour du corail d’être exclu de la liste des espèces à protéger. La CITES a rendu son verdict et il n’est pas pour arranger le patrimoine maritime algérien. Mais le ministère de la pêche et des ressources halieutiques, par la voie de la chargée de communication, Hazem Yasmine, l’affirme : « le corail sera protégé par une batterie de règlements. »

Déroulement des faits

21 mars dernier, les Etats-Unis et l’Union européenne font une proposition conjointe à Doha visant à réguler les exportations de coraux rouges précieux, utilisés en bijouterie. Nous sommes en pleine conférence où les membres de la Convention sur le commerce international des espèces de faune et de flore sauvages menacées d’extinction tentent, pour certains, de protéger des espèces en les incluant dans la liste de la CITES, et pour d’autres, à lever les interdictions et ainsi profiter de ce que pourrait rapporter l’exploitation de certaines d’entre elles. Le thon rouge avait été le grand perdant et malgré l’appui de l’union européenne, le malheureux poisson n’a pu intégrer la liste de la CITES et pourra ainsi continuer à être pêché et commercialisé, au détriment de sa survie. L’autre perdant de ces derniers jours est le corail. La proposition euro-américaine concernait 31 espèces de la famille des coraux rouges et roses des grands fonds pour les voir inscrits à l’annexe II de la CITES. S’il est vrai que seules sept espèces sont utilisées en joaillerie, cela aurait tout de même protégé les autres qui sont souvent confondues avec celles exploitables. C’est avec 64 voix pour sa protection, mais 59 contre et 10 absentions, que le corail a perdu toute protection. Et peut-on le dire, pour la CITES, toute crédibilité en matière de protection marine. Mais l’Algérie qui a participé à la Convention de Doha et qui soutenait l’inscription du corail à la CITES ne compte pas en rester là. Sans pouvoir donner davantage de détails, la cellule de communication affirme que l’Algérie prendra les mesures qui s’imposent pour protéger le corail. Est en cours une batterie de dispositifs réglementaires ayant pour but d’éviter le braconnage. Car on le sait, le corail est déjà frappé par une interdiction de pêche, mais continue à faire le bonheur des braconniers qui sévissent principalement à l’est du pays.

Des espèces restent protégées

D’autres espèces animales ont conservé leur protection comme c’est le cas de l’éléphant dont l’ivoire fait l’objet d’une interdiction formelle de commerce, et ce, malgré la tentative de la Tanzanie et de la Zambie de faire lever l’interdiction. Pour le Kenya, leader pour la défense du pachyderme, « le mieux est de ne plus parler du tout de l’éléphant à la CITES jusqu’en 2018 », peut-on lire sur l’AFP. L’éléphant est bien le seul à bénéficier de cette attention avec le requin taupe qui a vu ses amis, le requin marteau halicorne, le requin océanique ainsi que l’aiguillat commun, rester à la porte de la Convention. Il est vrai que la population du requin taupe s’était effondrée de 80% ces dernières décennies. Mais faudra-t-il attendre une chute aussi vertigineuse des autres espèces pour les voir intégrer la liste de la CITES. Dans le monde, et chaque année, quelque 73 millions de requins sont pêchés, dont beaucoup sont rejetés à la mer après découpage de leurs ailerons, vendus jusqu’à 100 dollars le kilo sur le marché de Hong Kong. Pourtant, la plupart de ces espèces figurent sur la liste rouge de l’IUCN (Union mondiale pour la conservation de la nature) des espèces au minimum « vulnérables » et au pire « en danger critique ». A noter que certains de ces requins n’atteignent la maturité que vers 32 ans, comme pour la femelle aiguillat en Pacifique nord-Est. « La stratégie de reproduction a parfaitement fonctionné depuis 400 millions d’années. Le problème est qu’ils ne sont plus les plus grands prédateurs des océans : c’est nous », déclarait Matt Rands, l’expert requins du Pew environnement group, une ONG américaine.



Par Zineb A. Maiche

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30 mars 2010 2 30 /03 /mars /2010 23:40

RADAR (Mercredi 31 Mars 2010)

 

UNE RENCONTRE AURA LIEU LE 3 AVRIL À PARIS
Projet de recyclage en Kabylie
Par : Rubrique Radar

La Kabylie sera à l’honneur le 3 avril prochain dans la capitale française. La ville de Saint-Denis abritera une rencontre écologique, initiée par les associations Berbère Taferka et Kabylie propre. Durant cette rencontre, les participants pourront visionner un reportage sur l’environnement en Kabylie avant d’en débattre avec Salmi Hamid et Slimani Smaïl, respectivement ethnopsychiatre et universitaire. Mais pour réconforter l’assistance, qui ne manquera pas d’être secouée par le reportage, il sera question du projet, en cours, visant le recyclage des bouteilles de bière qui jonchent les bordures des routes, et ce, dans la quasi-totalité des villes et villages de Kabylie

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30 mars 2010 2 30 /03 /mars /2010 23:32

Liberté

Actualité (Mercredi 31 Mars 2010)

 

LES TRAFIQUANTS L’UTILISENT POUR FABRIQUER DU MUSC
Le massacre de la gazelle algérienne continue
Par : Mohamed S. / Hanafi H.

 

 

1


 

Le braconnage continue dans le sud algérien. Cette fois-ci ce n’est pas les émirs du golfe qui en sont à l’origine. Il s’agit de chasseurs algériens de certaines régions du sud du pays qui se sont lancés dans la traque de certaines espèces animales en voie de disparition. Cette activité, qui est évidemment non autorisée, leur rapporte beaucoup.

Les braconniers œuvrent en accointance avec des contrebandiers spécialisés dans la revente de certaines espèces de la faune à travers des circuits informels.
Selon des sources crédibles, les contrebandiers ont pu transiter frauduleusement, au fil du temps, un nombre important de Rym vers des pays arabes, après les avoir acquis chez des braconniers locaux. Les gazelles capturées vivantes – le grand Rym – sont vendues entre 20 000 et 50 000 DA. Des parties importantes de ce gibier, notamment son crâne, sa corne sont récupérées, dit-on, par les capitaines de l’industrie cosmétique ou parfumerie. Parmi les pays concernés par la contrebande du Rym figurent entre autres la Tunisie, la Libye, l’Arabie Saoudite et notamment la Syrie. D’ailleurs et selon nos sources, Damas est réputée par ses industries développées dans la fabrication de meilleure qualité de musc, réputé à l’échelle internationale.
Le musc syrien est produit, faut-il le souligner, à base d’une matière se trouvant dans le corps du Rym algérien. Les massacres perpétrés quotidiennement contre le Rym, l’absence d’un parc naturel, l’abattage excessif de dizaines d’arbres et plantes notamment ceux constituant les principaux aliments du Rym, mais aussi l’indifférence et la passivité totales des responsables de ce qui s’est passé et ce qui se passe contre cet animal sont les causes primordiales qui ont poussé des centaines de gazelles à fuir le territoire algérien pour se réfugier dans des pays frontaliers notamment la Tunisie et la Libye. Là-bas, nos gazelles ont trouvé de nouveaux pâturages et d’autres bois et elles sont en sécurité.
Il faut souligner que les massacres perpétrés contre le Rym se poursuit d’une façon inquiétante dans les vastes oasis et les déserts du sud-est algérien notamment. Le manque de contrôle par les services concernés a offert aux braconniers, sans scrupules, une aubaine pour s’adonner en toute liberté à la chasse, non autorisée, de cette rare espèce dont le nombre a considérablement réduit. En dépit de la rigueur des textes de loi, les trappeurs ne cessent d’agir au mépris des règles les plus élémentaires de respect de l’environnement et de l’écosystème. Des paysans rencontrés dans certains marchés de bétail à El-Oued ont affirmé avec déception que “auparavant, dans les années 1980/90, il suffisait de parcourir quelques dizaines de kilomètres dans le désert aux alentours d’El-Oued pour observer d’importants troupeaux de Rym éparpillés çà et là, alors que maintenant, on devra sillonner des centaines de kilomètres pour pouvoir apercevoir quelques têtes”.
Selon des sources locales, des braconniers de la région d’El-Oued se lancent dans des parties de chasse à la gazelle à près de 200 km au sud-est de la zone de Hassi-Messaoud.
Les mêmes sources ajoutent que dans des régions communément connues sous les noms de Bir Gharafa, Oglat-Blaïd et Sahn Baraka, des trappeurs pourchassent cette faune à bord de véhicules tout-terrains de type Toyota-Station des dizaines de Rym avec leurs petits.
“Après une course-poursuite, ces animaux essoufflés tombent à même le sol. Le ventre et les poumons de certains d’entre eux ont explosé.” Pour cela, les boucaniers utilisent des fusils de chasse pour abattre des Ryms résistants. Et même les chiens de chasse tels que les “slouguis” sont également utilisés pour rattraper un Rym récalcitrant, selon une source locale.
Il faut dire que les campagnes d’extermination “inédites” de chasse non autorisée ont diminué le nombre de Rym dans la région. Devant cet état de fait, les animateurs de l’Association algérienne du patrimoine, de l’environnement et de la promotion des zones sahariennes (AAPEPZS) d’El-Oued ont tiré la sonnette d’alarme à maintes reprises, mais en vain. Selon son président M. Boughazala Bachir “la chasse outrancière du Rym par des assaillants risque sérieusement d’anéantir le très petit nombre de cette espèce qui continue de résister aux multiples attaques”. Le nombre de Rym vivant dans certains coins des régions d’El-Oued, de Ouargla et d’Illizi ne dépasse pas les quelques dizaines de têtes alors que les troupeaux de Rym, jusqu’en début des années 1990, était important.
Plus loin, le président de l’association (AAPEPZS) déplore que la chasse au Rym se fasse tout au long de l’année et notamment les week-ends, mais le braconnage se multiplie en été qui pousse les Rym, en quête de repos, à rechercher l’ombre et l’humidité sous les arbres.
Ces criminels de l’environnement, pour paraphraser le président de l’association, ne laissent jamais ces animaux jouir tranquillement de leur existence. Les chasseurs profitent de cette période de grandes chaleurs pour perpétrer leurs massacres contre les malheureux Rym, surpris à chaque fois par des véhicules tout-terrains.
Le président de l’association a indiqué que les groupes spécialisés dans la chasse du Rym activent notamment au niveau de Guemar, Debila, Douar El-Ma,
El-Ogla, Robbah et El-Oued.
Pour lui, ces gens sont d’une
telle atrocité qu’ils ne reconnaissent ni la période de la reproduction ni celle de la croissance.
Et que les femelles et les petits Rym, âgés de cinq mois à un an, sont souvent la cible de ces chasseurs.
Le bureau d’El-Oued de ladite association a adressé dernièrement une lettre au ministre de l’Aménagement du territoire et de  l’Environnement pour intervenir et protéger la faune dans cette région. “L’association tire la sonnette d’alarme et demande une intervention urgente du ministre pour protéger les zones sahariennes de toutes sortes d’exploitation effrénée”. lit-on dans la lettre. Et d’ajouter : “la situation est extrêmement grave et les zones sahariennes sont devenues la proie de différents actes criminels tels que l’abattage des animaux, des végétaux, des oiseaux et des arbres.” Cette situation, ajoute la lettre, est imputée à l’indifférence et le non-contrôle des lieux concernés par les actes précités.
Avant de conclure, le président du bureau d’El-Oued a signalé que des émirs du golfe se sont adonnés à des parties de chasse à l’outarde houbara, comme c’était le cas il y a deux mois dans le désert nord-ouest d’El-Oued.
Les massacres des braconniers ont poussé un grand nombre de Rym à prendre le chemin des territoires tunisiens et libyens où la chasse est interdite ou bien réglementée.
Selon le président de l’association, le nombre de Rym était dans les années 1990 près de 1,5 million de têtes disséminées d’El-oued jusqu’à Illizi. Ce nombre ne dépasse pas actuellement les 200 000 têtes.

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13 mars 2010 6 13 /03 /mars /2010 23:26
Source : Setif info


Massacre du chène liège dans  la région de Aït Tizi




Le chêne-liège, connu pour son imperméabilité, est actuellement exploité anarchiquement par les bandes spécialisées pour confectionner des panneaux d’isolant thermique et pour le bourrage des cloisons. Toutefois, les habitants de la région de Aït Tizi ou de passage utilisaient le chêne-liège pour la fabrication traditionnelle du charbon. Son bois est préféré pour le chauffage car s’enflammant plus rapidement que le chêne zen. Une charge de tracteur coûte 6000 DA et chaque ménage en consomme en moyenne deux par saison.

Ce qui fait dire que le chêne-liège est menacé de disparition par l’homme en raison de l’exploitation illicite, effrénée et sans technicité. D’autre part, la mafia de ce produit profite de la situation et la récolte est vendue sur place en pleine forêt à plus de 6000 dinars le stère. Il est acheté par des revendeurs venant de plusieurs wilayas. Selon, un ancien agent des forêts, les textes réglementaires régissant le secteur, notamment la loi 84-12 du 24 juin 1984, ont laissé la porte ouverte aux pratiques délictueuses. Les voleurs de liège, lorsqu’ils se font appréhender, s’en sortent souvent avec des amendes de quelques centaines de dinars seulement, et cela n’a aucune commune mesure avec les dégâts occasionnés à la forêt.

Khalil.Hedna@setif.info

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26 février 2010 5 26 /02 /février /2010 09:07

La Méditerranée est une mer qui a de quoi étonner puisqu’elle contient 8% des espèces marines mondiales. Sans rivaliser avec les mers tropicales, elle aussi est colonisée par les coraux. Il ne faut pas oublier que la « Grande Bleue » fait partie des mers chaudes, puisque ses températures hivernales ne descendent pas en dessous de 10°C.

lire l'article dans article, paru dans le numéro 20 de l’excellent Chercheurs d’eau !
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24 février 2010 3 24 /02 /février /2010 23:29

jijel info

A proximité de l'une des meilleures plages de Jijel, est née une décharge publique au lieudit Plage El Djenah à quelques dizaines de mètres du fameux et splendide rocher aux moules et, à quelques mètres du bord de la plage, avec la complicité de la commune.



Image de l'article

Jijel - A quand un éveil écologique dans notre pays?
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2 janvier 2010 6 02 /01 /janvier /2010 03:02
Jijel info


Posté par MedSouilah le 01/01/2010 08:10:00 (77 lectures)

 

Il est vrais qu'un programme qualifié "d’ambitieux" a été tracé par le secteur des forêts à Jijel pour "reverdir" cette région littorale Jijellienne!
Mais la question qu'il faut poser:
A t-on pensé à la lutte

anti-incendie...?


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23 décembre 2009 3 23 /12 /décembre /2009 21:10
el watan 24 dec. 09

Journée mondiale de la montagne : Il faut sauver le massif du Djurdjura
Journée mondiale de la montagne : Il faut sauver le massif du Djurdjura

Cette montagne, qui alimente en eau potable des dizaines de milliers de gens et qui abrite des milliers d’espèces animales et végétales, doit être protégée.



La montagne est un lieu que l’on doit, à tout prix, non seulement préserver mais aussi développer. À l’occasion de la Journée internationale de la montagne, célébrée le 11 décembre dernier, au niveau de la station de Tikjda, plusieurs manifestations ont eu lieu, afin de rappeler la valeur, ainsi que l’urgence de promouvoir les zones de montagne. Faut-il noter aussi que cette célébration est tombée à point nommé avec la Conférence mondiale sur le climat, à Copenhague (Danemark). Le massif du Djurdjura fait face lui aussi à cette déchéance climatique qui menace tous les pays du monde. Et, pour cette raison, cette montagne qui alimente en eau potable des dizaines de milliers de gens, et qui abrite des milliers d’espèces animales et végétales, doit être protégée.

Le Comité olympique algérien (COA), la Fédération algérienne du ski et des sports de montagne (Fassm), responsables locaux de la wilaya de Bouira et les associations sportives, ainsi que des clubs de ski locaux, ont tous participé à la célébration de cette journée. Les services du Parc national de Djurdjura (PND), à cette occasion, avaient élaboré un programme de plantation d’une centaine d’arbres. La direction du PND avait ainsi cédé, symboliquement, une parcelle de terrain au profit du COA, où le Pr Rachid Hanifi, nouveau président de cette instance, eut l’honneur d’y planter le premier arbre. Comme il a planté un olivier au niveau du site de Mimouna, situé aux tréfonds du relief de Haïzer.

Une opération de nettoyage, effectuée par les jeunes sportifs, a touché tout le périmètre de la station de Tikjda. « On a voulu en faire une journée symbole de liaison entre le sport, l’environnement et le tourisme. J’ai tenu personnellement à assister à ce que cette manifestation soit l’une des activités premières du comité olympique. Parce que le COA ne devrait pas être une instance réservée uniquement à l’élite. Il y a énormément de travail qui nous attend, qui attend l’olympisme d’une façon générale », a affirmé le Pr Rachid Hanifi, président du COA. Tout en mettant l’accent sur le fait que « les valeurs de l’olympisme font que le sport puisse participer à améliorer les conditions de vie en général, de rendre agréable tout ce qui tourne autour de l’individu et de l’environnement ».

Pour la Fédération algérienne de ski et des sports de montagne (Fassm), l’important est de promouvoir la montagne par des activités à caractère économique, culturel et sportif. « À cette occasion on a fait plusieurs chantiers, notamment le nettoyage, la plantation, un autre chantier concerne également le balisage d’un sentier pédestre pour permettre aux gens de se déplacer sans se perdre. La montagne est un milieu difficile, tous les secteurs doivent s’impliquer pour œuvrer à son développement. En ce qui concerne la station climatique de Tikjda ce sont les secteurs des forêts, environnement, jeunesse et des sports, tourisme ainsi le secteur de l’hydraulique. C’est l’objectif qu’on voulait donner à cette journée », a souligné Meziane Hamdane, président de la Fassm.

La question du réchauffement climatique semble plus que jamais importante, du fait qu’au niveau des montagnes du Djurdjura, la neige a mis beaucoup de retard pour tomber. « À cette période (mi-décembre), il y a quelques années, nous ne pouvions pas faire des randonnées qu’on a faites aujourd’hui, parce qu’il y aurait eu beaucoup de neige », ajoute le responsable de la Fassm. Pour bien exploiter les différentes potentialités de la région le président de la Fassm propose de monter encore plus haut pour skier. « Avec le changement climatique, il y a moins de neige et quand elle tombe c’est au plus haut des montagnes. Ce que j’ai proposé à cet effet, c’est de créer de nouveaux équipements nous permettant d’exploiter les zones les plus hautes, dans des endroits dépourvus de végétation, et ce, pour participer à la protection de la nature », a-t-il conclu. Devant cette situation où le climat est en mauvaise santé, l’urgence est de taille afin de préserver la montagne et aussi l’environnement pour que la génération de demain trouve un milieu où il fera bon de vivre.

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23 décembre 2009 3 23 /12 /décembre /2009 12:54



CorailBienvenue sur le site
Corail Vivant

Association Responsable fondée en 2000.

Nos objectifs :

Encourager la protection des récifs coralliens et des écosystèmes associés de Nouvelle-Calédonie dans leur intégralité.

Dégager les moyens de son observation et de sa protection.

Améliorer la qualité de vie des habitants de la Nouvelle-Calédonie et leur environnement à travers cette action.

Favoriser la création de la fondation internationale Corail Vivant qui suivra les mêmes objectifs.

Obtenir l'inscription des récifs coralliens et des écosystèmes associés de la Nouvelle-Calédonie sur la liste du patrimoine mondial de l’UNESCO.


      http://www.corailvivant.org/index.php

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22 décembre 2009 2 22 /12 /décembre /2009 22:07

L'épine-vinette (Berberis vulgaris) est un arbuste épineux à feuillage semi-persistant de la famille des Berbéridacées. En France, l'épine-vinette est systématiquement supprimée car c'est un hôte intermédiaire dans le cycle de la Rouille noire (champignon pathogène des céréales). Elle a donc été éradiquée en Europe occidentale. Avant leur maturité leurs baies sont faiblement toxiques car contenant de la berbérine. Mûres en septembre, elles sont comestibles crues ou cuites.
En Crète, l’ Etage  Montagnard ( au dessus de 1700m ) est dépourvu d’arbres et composé essentiellement d’arbustes épineux, nains pour la plupart, dont les plus caractéristiques sont l’épine-vinette de Crète ( Berberis cretica, Berberidaceae ) à feuilles plus petites que les épines portées par les rameaux.




Berberis cretica

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Présentation

  • : La confédération des Iflisen Umellil
  • : Un des objectifs est de reconstituer la grande confédération qui regroupait les 14 aarchs des Iflisen Umellil avant la colonisation française. Le but est de rétablir les liens interrompus et de promouvoir la solidarité inter-arche. Nous visons également à consolider les liens entre la diaspora et leur région d'origine. Réecrire l'histoire des Iflisen et préserver leur patrimoine matériel et immatériel .
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