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22 juin 2011 3 22 /06 /juin /2011 12:51

 

 

 

"lampe romaine" âge aproximatif 2500 ans, recuperée du coté de Taourga(ex:horace vernet) à 18 km de Dellys.

 

LAMPE ROMAINE

par rabahdellys

 

 


Omar Boudaoud de Tawerga

 

Omar Boudaoud adhéra au Parti du peuple algérien mais fut arrêté par la police française le 31 mai 1945. Libéré après la proclamation de l'amnistie générale en mars 1946, il fut nommé responsable de la zone de Dellys-Tighzirt. Il est considéré comme l'un des quinze militants de la Kabylie qui préparèrent le premier congrès du Mouvement pour le triomphe des libertés démocratiques en février 1947.

Il devint ensuite responsable régional de l'Organisation spéciale en Basse-Kabylie . Arrêté en 1949 dans la région de Baghlia, il fut libéré en 1951 et partit en France où il rallia directement le Front de libération nationale.

En février 1957, il devint responsable de la Fédération de France du Front de libération nationale puis membre du Conseil national de la révolution de 1959 à l'indépendance en 1962. En 1959, il se rendit au Maroc après l'arrestation des responsables de la Fédération, messieurs Mohamed Lebjaoui et Salah Louanchi.

Né le 5 mai 1924 à Tigzirt-Sur-Mer (Tizi-Ouzou). Après avoir obtenu son certificat d’études, il entre dans une école d’aboriculture à Mechras. Il quitte l’ecole à l’âge de 17 ans. C’est Mohamed Zerouali, un militant, qui lui fera connaître le PPA auquel il adhère en devenant son responsable pour Baghlia, ex-Rebeval. Arrêté en 1945 et lébéré après l’amnéstie de mars 1946 , il est chef de la région de Delllys, qui comprenait cinq communes. Il fait partie des 15 militants qui forment la délégation de Kabylie au premier du MTLD en février en 1947. Responsable régional de l’OS en basse kabylie, il est arrêté en 1949 à Baghlia. Libéré en 1951, il se rend en France où il devient gérant de café. Dans la crise qui secoue le MTLD, il prend position contre Messali. Il rejoint le FLN dès sa création et se rend au Maroc. Après l’arrestation de Lejaoui et Salah Louanchi en février 1957, il devient le responsable de la Fédération de France du FLN. Omar Boudaoud accède au CNRA en 1959 et fait partie de son bureau à la veille de l’indépendance. En 1964, il est membre du comité central du FLN et élu député. Après le coup d'état de Boumédienne le 19 juin 1965, il se retire de la politique et se consacre aux affaires.

 

 

Cherif Arbouz est également  de Tawerga

C’ÉTAIT EN ALGÉRIE AU TEMPS DES COLONIES DE CHERIF ARBOUZ
Mémoire revisitée


A 81 ans, Cherif Arbouz, ancien enseignant à la retraite, n’a pas dit son dernier mot.Il entend partager plein de choses avec tous ceux qui se donneront la peine de lire son livre. C’était en Algérie au temps des colonies est truffé d'anecdotes et de récits.
C’est drôle et cocasse ! Ça se laisse lire et ça met de bonne humeur. Ces histoires ne sont pas le fruit de l’imagination de l’auteur. On est dans le vécu, même si certains noms ont été changés pour protéger l’anonymat de ces personnages. Période ? L’époque coloniale lorsque deux populations vivaient côte à côte avec leur culture, leur croyance, et leurs coutumes respectives. Il y avait d’un côté les Algériens nés sur cette terre et de l’autre, les Européens débarqués de différents horizons : France, Italie, Espagne, Malte... Les Paoli, André, Casimir, Tarek Azouaw, Kaddour and co évoluaient dans un monde, certes pas toujours rose, mais où toutes les occasions de rire étaient les bienvenues. La première partie de cet ouvrage offre au lecteur un florilège de nouvelles très agréables à lire comme Le prof piégé, Plaidoyer pour un toutou, Le retour de l’émigré, Si Moh le toubib... Le second volet intitulé L'inénarrable Si Djoudi nous plonge dans l’Algérie de 1890 à 1945. Né le 8 février 1930, Chérif Arbouz est originaire de Tizi- Rached (Tizi-Ouzou). Il vécut une bonne partie de son enfance à Taourga (ex-Horace Vernet, non loin de Rébeval et de Dellys) où son père était instituteur. Après son bac, il poursuit ses études à la faculté des lettres d’Alger et obtient en 1966 le diplôme de fin d’études de l'Ecole normale supérieure de Saint Cloud, Paris. Spécialisé dans le domaine de l’enseignement, Chérif Arbouz collabora au sein de l'Institut pédagogique national. Après sa retraite, il exerça au siège du rectorat de l’UFC comme consultant puis formateur.
Sabrinal
Cétait en Algérie au temps des coloniesde Chérif Arbouz, Editions Ines, 2011, 800 DA

 

Omar Boudaoud dit ses vérités (El Watan 22 novembre 2007)
Omar Boudaoud. Ancien moudjahid, auteur
« On a caché la vérité aux jeunes »

- Comment s’est effectué votre enrôlement au sein du PPA ( Parti du peuple algérien) en 1942 ?
- J’ai adhéré au PPA suite à un événement qui a totalement bouleversé ma vie. Un de mes amis Salah Arbouz est revenu de vacances avec un tract rédigé par les militants de la jeunesse du PPA, s’adressant aux jeunes voulant adhérer à ce parti clandestin. En lisant le document en question qui appelait à l’indépendance de l’Algérie, je fus surpris d’apprendre que des gens s’organisaient en vue de rejeter le joug colonial. Je partageais leur opinion car l’humiliation des Imazighen, les hommes libres, que je ressentais, à chaque pas, au marché ; dans la rue, face à l’arrogance des colons, des autorités françaises et de leurs valets indigènes, me révoltait. Le tract rapporté par mon ami répondait, en quelque sorte à mon attente. Je saisis, tout de suite l’occasion pour demander à Salah Arbouz, comment il fallait faire pour adhérer à cette formation. Ainsi, il me promis de me mettre en contact avec l’un des responsables du PPA, un certain Zerouali qui habitait Dellys. Mon ami m’informa que nous pourrions le rencontrer, le lundi d’après au marché hebdomadaire de Baghlia. La rencontre avec Zerouali constitue mon premier pas au sein du PPA, qui allait conditionner toute mon existence.
- Pouvez-vous revenir sur l’historique du déclenchement de la révolution en 1954 ?
- En 1926 fut créée l’Etoile nord-africaine ayant justement pour but la libération des trois pays du Maghreb du joug colonial français. Dissoute en 1937 par le gouvernement français du Front populaire , l’Etoile nord-africaine donna naissance, la même année en Algérie, à un nouveau parti, le PPA. Le PPA fut dissout à son tour en 1939 mais continua à œuvrer dans la clandestinité. Officiellement, le PPA fut remplacé en 1945 par le MTLD, parti reconnu qui a participé aux élections à l’assemblée nationale française. En 1947, le congrès du PPA-MTLD décida de mener la lutte sur deux plans : officiellement par la voie parlementaire et clandestinement par la création de l’Organisation secrète dans le but de préparer la lutte armée en vue d’accéder à l’indépendance. La crise des années 1950 due au démantèlement de l’OS par l’administration française et sa dissolution par le parti, provoqua une scission au sein du PPA. C’est ainsi que des anciens cadres de l’OS créèrent en 1954 le comité révolutionnaire pour l’unité et l’action. La scission du MTLD fut définitivement accomplie lors de la tenue du congrès des Messalistes en Belgique en juillet 1954, où Messali créa le Mouvement national algérien, suivi de celui des centralistes. Dans l’impossibilité d’unir les deux fronts, le CRUA s’est préparé à l’action en donnant naissance au FLN et ce, à l’insu de son chef historique Messali El Hadj. Début juin, Boudiaf et les 21 préparent l’insurrection armée qui allait aboutir au déclenchement de la révolution armée en novembre 1954.
- Comment avez-vous appris l’événement ?
- Par le biais de la presse. Cette série d’actions armées à travers le territoire algérien, m’a parue comme une bouée de sauvetage. Au cours de l’été 1954, pendant que certains à Alger commençaient à s’organiser, nous essayions de rester informés. Mon contact permanent était Hachemi Hammoud, membre du comité central du MTLD et du CRUA. Les prometteurs du CRUA déployèrent des efforts pour rapprocher centralistes et Messalites. Ainsi Benboulaïd, Didouche Mourad et Hachemi Hammoud se rendirent à Paris pour persuader Messali. Nous nous rencontrâmes à cette occasion dans un café parisien. Ils étaient venus pleins d’espoir à cette rencontre de la dernière chance pour le vieux leader. Messali s’était montré intraitable. Nous, les anciens militants, nous nous trouvions à Paris à l’écart des préparatifs concrets mais nous étions tout de même au courant que quelque chose se préparait. Le lendemain du 1er novembre, nous cherchions à en savoir plus et surtout à entrer en action sans plus attendre les instructions d’Alger. Ali Mehsas et moi tentâmes de regrouper les anciens militants alors que le FLN n’avait pas encore installé ses premières cellules. Il fallait être prudent car la plus grande majorité de l’émigration est restée fidèle au « zaïm ». Quelque temps plus tard, nous prîmes contact avec des gens de la gauche française, des syndicats et des mouvements associatifs. Avant même d’établir un contact organique direct avec ceux qui ont pris les armes, nous étions certains que la déflagration, ne pouvait venir que de nos compatriotes de l’OS. Nous prîmes des initiatives de notre propre chef jusqu’au jour où Mohamed Boudiaf intervient.
- Quel a été son apport à l’organisation de la Fédération ?
- En qualité d’ancien responsable de la fédération du MTLD en France, il connaissait des militants avec lesquels il entretenait des relations de confiance. Il chargea Mourad Terbouche de créer la cellule initiale du FLN en France. Terbouche s’entoura d’un staff constitué de Ahmed Doum, Mohamed Mechati, Fodhil Bensalem, Abderrahmane Guerras et Abdelfrim Souici, lesquels allaient donner naissance à la Fédération de France du FLN. Au moment où les premiers militants commençaient à s’organiser, d’autres militants et moi-même n’étions pas membres de la structure. Par contre, nous étions en relation avec nos villages d’origine. Dans notre groupe, Omar Oussedik abandonna Paris dès le déclenchement pour rejoindre Alger. Puis Mahsas se rendit au Caire, à l’appel de Ben Bella, a qui il était lié depuis longtemps. En avril 1955, je décidai de quitter la France à mon tour. Je me proposais de rejoindre le maquis en transitant par le Maroc.
- Vous avez été à la tête de la Fédération de France de 1957 à 1962. Quelle est votre appréciation sur la reconnaissance tardive de la France des massacres du 17 octobre 1961 ?
- Les événements du 17 octobre 1961 ont constitué un épisode crucial de la lutte de l’émigration. Cette manifestation a marqué un tournant dans son histoire. Plusieurs années se sont écoulées avant que l’on ne reconnaisse enfin le sacrifice des noyés de la Seine et du Canal Saint-Denis et les pendus du Bois de Vincennes, et que l’on donne à cette date une signification mémorable en la décrétant « Journée nationale de l’émigration ». Il est important de noter que les morts du 17 octobre ne constituèrent qu’un faible contingent par rapport à ces milliers d’émigrés abattus par la police ou par leurs anciens frères du MNA, guillotinés dans les prisons, pendus aux arbres par les services de répression avec la mention calomnieuse « Traître au FLN ». J’ai été un peu l’initiateur de la promulgation de cette journée de l’émigration. Ayant été membre du bureau de l’organisation national des moudjahidine, j’avais insisté sur l’importance de cette date qui ne devait pas laisser indifférent.
- Vous affirmez dans votre livre que si l’on devait situer les responsabilités de la fracture de 1962, force est de constater qu’une partie incombait au GPRA. Pourriez-vous être un peu plus explicite ?
- Le GPRA détenait le pouvoir officiel et n’avait pas su préserver l’indispensable unité. D’ailleurs, chacun y jouait son propre jeu, aussi bien les « Trois B », que les autres ministres. Ils en portaient la responsabilité. D’autres groupes et d’autres personnes ont également manœuvré pour essayer d’écarter les « trois B » et s’insérer dans les fissures d’un gouvernement provisoire ébranlé, afin d’accéder à la nouvelle direction du pays. L’un des ministres, Ben Bella, avait mieux compris que les autres quelle stratégie il fallait adopter. Il s’agissait de s’appuyer sur une armée stationnée aux frontières qui pouvait alors impunément braver un pouvoir rendu chancelant, parce que divisé. Cette armée avait besoin d’un porte-étendard, d’un écran civil qui rassure l’opinion publique faca à une prise de pouvoir éventuelle. Ben Bella pouvait d’autant mieux remplir ce rôle qu’il l’avait joué lors de sa détention. En résumé, l’Etat major des frontiéres avait besoin d’une enseigne respectacle et Ben Bella d’une force armée. Cette alliance conjoncturelle permit une prise relativement aisée du pouvoir. A la veille du cessez-le-feu, la direction manqua de cohésion. Déjà, pendant leur détention, « les cinq » ne s’entendaient pas. Les « trois »leaders qui exerçaient en fait le commandement, à Tunis, sont également divisés entre eux. Ils étaient aussi avec les autres membres importants du GPRA. Au bout de sept ans et en demi de guerre, la direction du FLN n’en était plus une. Pendant les négociations avec le gouvernement français, elle donne nénamoins l’impression d’être unie. C’est grâce à cette cohésion de façade que le GPRA a pu négocier honorablement les accords d’Evian. La crise qui secoua notre jeune indépendance durant l’été 1962 est une illustration de ces dissensions. Heureusement que le peuple, forgé par les souffrances endurées, avait cimenté son unité, ce qui sauva le pays d’une possible « congolisation ».
- Avez-vous d’autres projets d’écriture ?
- Après avoir publié mon livre, je me suis rendu compte que j’avais oublié involontairement plusieurs choses importantes. Je vais compléter la deuxième édition par les chapitres manquants. Ce qui est très intéressent pour le lecteur, ce sont les histoires des histoires. Par ailleurs, je tiens à signaler que mon livre est un legs pour les générations actuelles et futures. J’ai voulu mettre noir sur blanc ce qui s’était passé durant cette glorieuse époque. On n’a pas donne à cette jeunesse les informations nécessaires pour s’insérer dans cette histoire. On leur acaché la vérité. Ils ne sont pas partie prenante réelle de la situation du pays. Ils sont déstabilisés. L’histoire de cette révolution doit être connue à travers les livres scolaires. Le conseil que je pourrais donner aux jeunes, c’est de creuser dans cette histoire et de savoir ce qui s’est réellement passé et ce, tant que certains acteurs sont vivants.

* Du PPA au FLN, mémoires d’un combattant. Ed. Casbah, Alger 2007.


Par Nacima Chabani

 

 

TAOURGA
  Une commune sous perfusion
La commune de Taourga, localité située à 85 Km à l’est du cheflieu de la wilaya de Boumerdès, est sans doute la plus petite et la plus pauvre de la wilaya. L’ex- Horace Vernet, a, dans le cadre du séisme du 21 mai 2003, bénéficié de 250 logements sociaux. Malgré les multiples appels d’offres lancés via la presse nationale par l’APC, les entrepreneurs ne se bousculent pas au portillon. Le premier responsable de la commune de Taourga nous a contactés pour nous dire : « J’annonce par le truchement de votre journal une bonne nouvelle à la population de la commune que je préside. Les travaux de réalisation de 150 des 250 logements dont a bénéficiés notre municipalité dans le cadre du séisme, ont été entamés depuis peu. En effet, un entrepreneur a été chargé de mener à terme les travaux en question. » Il est à noter qu’un entrepreneur a déjà été chargé par le passé de réaliser 50 des 250 desdits logements. Toutefois, celui-ci, a abandonné les travaux pour des considérations financières, murmurait-on du côté de l’antique Tigist.La réalisation de ces 250 logements qui viendront s’ajouter aux 149 logements réalisés au niveau du chef-lieu de commune il y a de cela un peu plus d’une décennie, atténuera à coup sûr la crise de logement qui va crescendo dans la région. Il est à signaler que de nombreuses familles habitent encore dans des cités qualifiées à juste titre par les citoyens et par les responsables locaux de cités de la honte.Et au maire de Taourga d’ajouter : « Je profite de cette précieuse opportunité que m’offre le journal Le Courrier d’Algérie, pour dire que des milliards de dinars sont dépensés chaque année par l’Etat pour l’amélioration du cadre de vie des Algériens à travers le pays. Hélas, les zones rurales à l’image de la notre sont lésées. Ils sont nombreux à penser que le développement dans les zones rurales c’est la rénovation des réseaux d’assainissement et l’alimentation en eau potable. Laissezmoi vous dire qu’à l’ère de la haute technologie, les citoyens usent encore de bottes en hiver au niveau du chef lieu de commune tant la boue règne en maîtresse absolue des lieux. » Et d’enchaîner : « La DUC de Boumerdès a certes fait des efforts colossaux pour aider un tant soit peu notre commune, mais, je l’avoue, ces efforts demeurent infimes. De ce fait, je sollicite pour le plus grand intérêt de la population des efforts supplémentaires dans ce sens. » Et de clôturer : « Si la situation au chef-lieu de commune est pitoyable, je vous laisse le soin d’imaginer l’état comateux des cités et autres villages de la commune. Je ne demande pas la lune au beau milieu de la journée pour mes concitoyens, je veux juste qu’ils goûtent au même titre que leurs compatriotes des zones urbaines aux bienfaits du développement.» En questionnant le premier magistrat de la commune de l’antique Tigist sur les raisons de la colère passée des résidents de Mazer, village relevant de la sa municipalité, notre interlocuteur nous dira : «Les Mazérois exigent le revêtement du chemin communal reliant leur village à celui de Beni Attar dont la première tranche de 3 kilomètres a été déjà bitumée pour un coût égal à 3 milliards de centimes. Nous attendant que des enveloppes financières soit débloquées pour entamer le revêtement des deux tranches restantes. De ce fait, je demande à la population de ce village de faire preuve de patience et je leur dis que le wali est à l’écoute de leurs préoccupations du reste légitimes.» Et de clôturer : «Le revêtement du tronçon routier reliant le village Ighil au chef-lieu de commune sera pris en charge par les pouvoirs publics en 2010. Taourga qui fut une plaque tournante des envahisseurs qui ont sucé le pays à travers les siècles et qui est dépourvue de sources de revenus, mérite un sort autrement meilleur.
 Massinissa 


Le Courrier d'Algérie 6 aout 09

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