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3 octobre 2011 1 03 /10 /octobre /2011 21:10
Djemila Benhabib: «Quand on brise le silence, on prend un risque»
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L’écrivaine Djemila Benhabib. Photo: Steeve Duguay/Métro

Après avoir jeté un pavé dans la mare avec son premier livre Ma vie à contre Coran, l’écrivaine Djemila Benhabib récidive avec Les Soldats d’Allah à l’assaut de l’Occident. Elle y pourfend le visage plus respectable que tentent de se donner les tenants de l’Islam politique et l’attitude complaisante d’une partie de la gauche québécoise.

 



Quels sont les différents courant de l’Islam?
On pourrait dire qu’il y a deux islam. L’islam ordinaire de monsieur et madame tout le monde qui se traduit par une pratique discrète de la foi. Et un islam militant qui veut transformer les structures sociales et politiques aussi bien en Orient qu’en Occident. Dans cette mouvance-là, il y a des gens qui tuent et qui pillent, les djihadistes et les idéologues, qui conceptualisent. Ces derniers sont incarnés principalement par la Confrérie des Frères musulmans. Bien sûr certains font la différence entre les idéologues et ceux qui commettent des actes terroristes. Pour ma part, je pense que les idéologues islamistes comme Tariq Ramadan mènent le monde au chaos.

Quelles erreurs de la gauche québécoise dénoncez-vous?
On note une grande vulnérabilité et une mollesse inouïe de la gauche québécoise face aux revendications des islamistes, comme par exemple dans le dossier du port du voile. Quand la Fédération des femmes du Québec tolère le port de la burqa pour les éducatrices de garderie en charge d’enfants de moins de 6 ans, je me demande si un mouvement féministe dans le monde a déjà commis pire dérive? Dérive encouragée par Québec solidaire qui donne une légitimité impardonnable à la mouvance islamiste en dépolitisant la question du voile. En encourageant les accommodements religieux, comme le font les intellectuels multiculturalistes et tiermondistes, on est en train de briser l’un des fondements de la démocratie, soit l’égalité des citoyens.

Le printemps arabe est-il porteur de bonnes nouvelles pour les femmes?
Tant et aussi longtemps que la source principale du droit dans les pays arabes sera la charia, il n’y aura pas de droit des femmes. Par exemple, les femmes tunisiennes étaient en droit d’espérer que la loi inégalitaire en matière d’héritage soit changée avec la révolution. Eh bien non, elles visent plutôt la préservation des acquis face à la montée de la mouvance islamiste. Le constat en encore plus alarmant en Égypte. On ne pourra pas améliorer le statut des femmes sans séparer le politique et le religieux.

Comment votre vie a-t-elle changé avec votre premier livre?
Je vis dans un endroit assez reculé qui me permet de me consacrer à la réflexion et à l’écriture. Ma vie n’a pas changé, mais évidemment quand je me déplace, il y a des précautions à prendre. Par exemple, mon amie comédienne, Rayhana, a été aspergée d’essence en plein Paris, alors qu’elle se rendait au théâtre pour présenter une pièce sur les femmes algériennes. On a tenté de la brûler. Quand on brise le silence, on prend un risque mais il n’est pas question de me taire sur les risques liés à l’Islam politique et sa doctrine totalitaire.


Source: Journal Métro - Montréal

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26 septembre 2011 1 26 /09 /septembre /2011 01:26

 

el watan

Aéroport Ferhat Abbas (Jijel) : Attaque au lance-roquettes
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le 26.09.11 | 01h00 Réagissez

L’aéroport Ferhat Abbas, dans la commune de Taher (20 km à l’est de Jijel), a subi dans la nuit de samedi à dimanche une attaque terroriste qui a visé un hélicoptère militaire stationné sur l’aire de cette infrastructure aéroportuaire.

Selon les informations que nous avons recueillies, l’attaque à l’aide d’un lance-roquettes, qui serait de type RPG 7, a été menée du côté opposé à l’aérogare, près des berges de l’oued Djendjen, relevant de la localité de Tassoust, dans la commune de l’Emir Abdelkader. Aucun dégât matériel ni perte humaine n’a été relevé à l’issue de cette attaque, qui a été suivie par une riposte des militaires et des policiers qui ont mitraillé l’endroit d’où a été lancée la roquette, avant qu’une opération de ratissage ne soit menée dans la partie nord de la commune de l’Emir Abdelkader. Cette sortie terroriste en a étonné plus d’un, surtout dans une telle zone caractérisée par une forte présence sécuritaire, notamment le casernement des groupes d’intervention de la Gendarmerie nationale à Bouhamdoum, à quelques encablures seulement au sud de la sûreté urbaine au niveau de la localité de Tassoust, et bien sûr de la présence militaire et policière au niveau de l’aéroport Ferhat Abbas.

En effet, l’infrastructure aéroportuaire se trouve à seulement quelques kilomètres au sud du port de Djendjen. Sans complicité dans la région même, la retraite des terroristes aurait été difficile pour rallier les monts de Beni Khettab qui surplombent au sud le chef-lieu de commune de l’Emir Abdelkader. L’autre inquiétude est nourrie par le type d’arme utilisé. Certains n’hésitent pas à soutenir que cette sortie confirme l’arrivée d’armes et de munitions par la frontière algéro-libyenne. Il y a lieu de rappeler que les deux dernières grandes actions des groupes terroristes activant encore dans la région ont été menées durant le mois de mai dernier. Le 6 de ce mois, c’était dans la commune d’El Kennar qu’un convoi militaire a été visé par une attaque à l’explosif, causant la mort de cinq militaires. Une semaine après, ce sont 7 militaires qui ont trouvé la mort à Tizrarane dans la commune de Ziama Mansouriah, dans une attaque terroriste ayant ciblé un poste avancé de l’armée. Trois terroristes avaient été éliminés lors de cette opération.

Fodil S.
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23 septembre 2011 5 23 /09 /septembre /2011 21:21

 

 

  ...comme disait un émigré qui faisait du jogging dans son village (pour dire qu'il a un point de côté !). Avec l'entêtement du régime algérien à maintenir les Algériens dans un statut quo devenue intenable, bientôt cette Algérie,  livrée aux salafistes et autres arabo-islamistes, aura carrément  ''mal à la colonne des bras'' (pour paraphraser le même émigré).

 

 

 

 

 

Editorial (Samedi 24 Septembre 2011)

 

Douloureuses contorsions

 

Par : Saïd Chekri

Cet exercice de trapéziste auquel aura été acculée la diplomatie algérienne ne sera pas le seul coût de ce qui relève, en somme, d’une faute politique inspirée par une volonté de contrecarrer le cours de l’Histoire.


“L’Algérie a décidé de travailler avec les nouvelles autorités libyennes et de faire que la coopération entre les deux pays redevienne une coopération normale, et je dirais même une coopération particulièrement renforcée dans tous les domaines.” Ces propos sont de Mourad Medelci, ministre des affaires étrangères, actuellement à New York où il prend part à la 61e Assemblée générale des Nations unies.
Après cela, faut-il douter de la reconnaissance du Conseil national de transition (CNT) libyen par l’Algérie ? Louisa Hanoune pense que oui, mais il semble bien qu’elle interprète mal, plutôt selon sa convenance, les paroles du chef de la diplomatie algérienne. Certes, le ministre n’a pas prononcé le mot “reconnaissance”. Mais on le comprend : un tel revirement doit se négocier en douceur, sous peine d’être perçu comme une brusque et flagrante remise en cause d’une position que le gouvernement algérien a défendue contre vents et marées pendant des mois. Medelci s’est, d’ailleurs, astreint au devoir d’explication, voire de justification. Et ce fut au prix de contorsions pénibles et douloureuses : “La position de l’Algérie a été basée, d’une part, sur la cohérence avec celle de l’Union africaine et d’autre part sur l’engagement du CNT à consolider l’unité du peuple libyen (…)”, a-t-il tenu à préciser, confirmant la teneur du communiqué de son département qui indiquait que l’Algérie, “ayant pris acte” de la reconnaissance du CNT par l’UA, voulait “travailler étroitement avec les nouvelles autorités libyennes afin d’asseoir une coopération bilatérale féconde (…)”.
Pour autant, cet exercice de trapéziste auquel aura été acculée la diplomatie algérienne ne sera pas le seul coût de ce qui relève, en somme, d’une faute politique inspirée par une volonté de contrecarrer le cours de l’Histoire. Faute pour l’Algérie d’avoir adopté à temps une position favorable avec une insurrection populaire contre une dictature avérée, celle du régime de Kadhafi, la facture sera salée. L’Algérie devra, pendant longtemps, se résoudre à accuser le coup, à “composer” avec le processus politique en cours en Libye dans lequel elle ne pourra jouer, au mieux, qu’un rôle mineur, contrairement aux autres pays de la région, la Tunisie, le Maroc ou l’Égypte, ou encore les lointaines monarchies du Golfe. En définitive, l’Algérie de Bouteflika s’est donné le statut peu enviable de “mouton noir” de la région, qui n’adhère au mouvement d’ensemble que contrainte et forcée. Cela aussi risque de valoir d’autres désagréments au pays.

S. C

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21 septembre 2011 3 21 /09 /septembre /2011 01:25

 

    C'est comme tous ces salafistes ou néo-islamistes qui se bousculent pour venir vivre en Occident, et boudent biensûr les pays arabo-musulmans ! En tout cas Hadjar vit très mal cette décision, c'est comme une véritable punition que d'aller vivre chez les saoudiens. Tout comme beaucoup de Nord-Africains qui préférent ne pas aller aller au Firdous (paradis musulman) de peur de se retrouver éternellement avec ces wahhabites et salafistes.

 

 

TSA

Nommé ambassadeur en Arabie saoudite

Abdelkader Hadjar refuse d'aller à Riyad

 

 

Depuis quelques semaines, un incroyable bras de fer se déroule au ministère des Affaires étrangères. Abdelkader Hadjar refuse de rejoindre son nouveau poste d’ambassadeur d’Algérie en Arabie saoudite. La cause ? Selon nos informations, Abdelakader Hadjar a été rappelé du Caire – où il représentait l’Algérie à la fois en Égypte et auprès de la Ligue arabe – suite aux plaintes de plusieurs pays arabes. Ces pays ont protesté officieusement auprès d’Alger à cause de certaines prises de position de M. Hadjar, jugées peu conciliantes. Mais en réalité, ces prises de position sont conformes aux orientations de la diplomatie algérienne.

Parmi les pays auxquels s’opposait régulièrement l’ambassadeur d’Algérie auprès de la Ligue arabe figure l’Arabie saoudite. Alger et Riyad ont souvent eu des divergences sur les dossiers importants, comme la question palestinienne, le processus de paix au Proche‑Orient ou les relations avec l’Iran. Cet été, Abdelkader Hadjar avait même quitté une réunion après un échange vif avec le représentant saoudien.

Aujourd’hui, Abdelkader Hadjar craint de ne pas pouvoir effectuer pleinement sa mission d’ambassadeur à Riyad. Il sait que les Saoudiens ont la rancune tenace et pourraient lui faire payer ses prises de position au sein de la Ligue arabe. Mais malgré le risque de voir son efficacité réduite à néant à Riyad, la présidence de la République et le ministère des Affaires étrangères maintiennent leur décision de l’envoyer en Arabie saoudite.
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18 septembre 2011 7 18 /09 /septembre /2011 20:36

 

 

 
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Actualité (Lundi 19 Septembre 2011) 

ASSASSINAT DES MOINES DE TIBHIRINE
Révélations sur les contacts DGSE-GIA
Par : A. B.

Les faiseurs d’opinion en France refusent d’évoquer le rôle de la France et de ses services de renseignements dans les négociations avec le GIA dans l’affaire des moines de Tibhirine.

Canal + projettera ce soir un autre documentaire sur l’affaire des moines de Tibhirine. Son auteur, Jean-Baptiste Rivoire, connu pour être un partisan du “qui tue qui” tente, par l’entremise de “témoins” aussi douteux qu’insignifiants, d’imputer la responsabilité du rapt et de l’assassinat
des moines aux services de
renseignements algériens. C’est du Nietzsche revisité ! “Plus le mensonge est gros et plus il a la chance de passer.”
Le documentaire n’évoque, à aucun moment, le rôle de
la France et ses services de renseignements dans les négociations avec le GIA dans cette affaire.
Pourtant, la France officielle a reconnu avoir reçu l’émissaire du GIA au sein de son ambassade à Alger. Mais personne, jusqu’à ce jour, n’a essayé de savoir qui se cache derrière ce mystérieux “Abdallah”, envoyé en émissaire par le GIA le 30 avril 1996 pour rencontrer l’ambassadeur de France et le lieutenant-colonel Pierre Le Doaré, alias Clément, le chef d’antenne de la DGSE à Alger.
Mais qui est ce messager “Abdallah” qui, à 19 ans, est allé négocier avec la France officielle au nom du GIA ?
Il aura fallu plus de trois ans aux services de sécurité algériens pour faire tous les recoupements et arriver à identifier ce mystérieux messager. Il s’agit de Tifouni Hocine, connu au maquis sous le pseudonyme de “Oussama”, il a été abattu le 6 octobre 1997 à Haouch Gaïd-Gacem, à Sidi-Moussa. Jusqu’à cette date, il n’était pas recherché par les services de sécurité. Selon les révélations de plusieurs repentis, ce terroriste originaire de Cherarba (Alger) était voisin de Fouad Boulemia, l’assassin présumé de Abdelkader Hachani.
Le “messager” activait dans la cellule de liaisons et de contacts que dirigeait, à l’époque, un certain “Aboubakr”, originaire de Baraki, mais évoluait constamment au sein du groupe de la phalange Echouhada qui comprenait, entre autres, Hocine “Flicha”, Yacine “Napoli” Walid de Oued Smar, H’mida “l’actif” et Brafta Aïssa (tous abattus par les forces de sécurité, sauf Walid de Oued Smar). Deux autres terroristes ayant évolué dans cette cellule restent en prison.
Il s’agit de Noureddine Boudiaf, alias Abou Othmane, ancien “émir” au sein du GIA,
et Fouad Boulemia, alias Abdelfattah.
Les services de sécurité ont réussi à remonter la piste de cet émissaire grâce à une cassette récupérée chez des terroristes du GIA. à son retour de l’ambassade de France, le “messager” a fait part à Djamel Zitouni, alors “émir” du GIA, du contenu de ses pourparlers avec les officiels français. C’est dans cet enregistrement que “le messager” a décliné son identité, comme étant le nommé Tifouni Hocine.
Les investigations des services de sécurité dans les communes des Eucalyptus et de Cherarba n’ont pas permis d’aboutir à déterminer l’existence réelle de ce nom. Lors de sa neutralisation, le terroriste “Oussama” a été formellement reconnu par le repenti C. Laïd, un autre membre de sa phalange.
Pour revenir à ce qui s’est dit entre “le messager” et les officiels français à l’ambassade de France, la cassette qui raconte le déroulement de ces pourparlers, et qui a été utilisée par Djamel Zitouni pour crédibiliser les négociations avec les Français et dont une partie du contenu a été utilisée lors de la diffusion n°74 du GIA.
Dans cet enregistrement, “le messager” raconte comment il est entré à l’ambassade de France, en affirmant qu’il a dû faire la chaîne, avant d’arriver devant les gendarmes français à qui il a déclaré qu’il était l’émissaire du GIA et qu’il désirait rencontrer l’ambassadeur.
Il affirme avoir rencontré “l’ennemi de Dieu, un certain Clément (le lieutenant-colonel Pierre Le Doaré), un homme de politique”. Le messager affirme avoir remis son passeport à un gendarme à l’entrée. Le messager raconte, minute par minute, ses pourparlers à l’ambassade de France. “Clément est entré.
Il m’a dit bonjour. J’ai répondu salam alaïkoum. Il (le conseiller de l’ambassadeur) me l’a présenté comme étant Clément, un homme de notre diplomatie. Je lui ai dit que je suis un émissaire. On a commencé à discuter. Je lui ai dit j’ai une cassette et une lettre.” La cassette contenait les déclarations des sept moines, la preuve qu’ils sont détenus par le GIA et qu’ils sont en vie. “Lorsqu’il écoute le passage des moines, il a perdu la voix. Je jure par Dieu qu’il s’est totalement effondré. Il a su que c’est sérieux. Je les ai observés. Ils se regardaient.” Il affirme que ses interlocuteurs lui ont demandé ce qu’est le GIA, il leur rappellera les “quatre de l’avion” allusion aux pirates de l’airbus d’Air France, abattus à l’aéroport de Marseille Marignane par le GIGN.
Le “messager” affirme avoir dicté le contenu de la lettre au conseiller. à la fin, le “messager” demandait une réponse de la part de ses interlocuteurs. Ces derniers, voulant certainement gagner du temps, lui ont posé un tas de questions sur les objectifs immédiats et à long terme du GIA. Ils lui ont même demandé son âge. Ce dernier affirmera qu’il avait 23 ans (alors qu’il n’en avait que 19). Ses interlocuteurs lui feront remarquer qu’il était jeune.
Le document devait être envoyé par fax en France. “Je lui ai dit, tu l’as envoyé à votre Chirac ? Il a répondu oui, nous l’avons envoyé. J’ai dit, que vous a dit Chirac ? Il m’a dit maintenant il (le document) arrive chez le ministre et ce n’est que par la suite qu’il arrivera chez Chirac. Je lui ai dit vous avez entendu que vous avez 24 heures.”
Le terroriste GIA continue son récit sur sa rencontre avec les diplomates français : “puis le conseiller, ennemi de Dieu, est entré en me ramenant la réponse. Il avait deux lettres, la première écrite en blanc, une feuille à l’intérieur de l’enveloppe. La deuxième il m’a dit que c’était pour ma sécurité. Puis il m’a donné deux numéros de téléphone, l’un de la France et l’autre de l’ambassade. Je lui ai demandé comment faire si je voulais les contacter. Il m’a dit d’appeler et de demander Clément : dis lui que c’est Abdallah. Il comprendra et te rencontrera. Il a ajouté : là où vous voulez, nous sommes prêts à vous rencontrer (…) j’ai expliqué Al Amane (la confiance) lui disant : n’ayez peur de rien, nous vous protégeront comme vous m’avez protégé, celui qui viendra on ne le tuera pas.”
Par la suite, il raconte
comment il est sorti de l’ambassade, dans une 405, accompagné du conseiller et de Clément, et escorté par une R25
appartenant à l’ambassade. Il raconte l’itinéraire emprunté, jusqu’à sa descente, dans le quartier de Brossette, à Hussein-Dey, où il s’est fondu dans la foule. La cassette, transmise par le GIA à l’ambassade de France, a été enregistrée le 20 avril 1996 vers 23 heures où les sept moines s’identifient et lisent, à la fin les revendications du GIA, à savoir la libération d’un certain nombre de terroristes emprisonnés, même si dans l’enregistrement il n’est
pas réclamé la libération d’Abdelhak Layada, l’ancien “émir” de l’organisation terroriste, comme réclamé dans le communiqué n° 43 du GIA.
Ce sont là quelques vérités, qu’une partie des faiseurs d’opinion en France ne veulent pas évoquer. Pourquoi ? à eux de répondre.

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18 septembre 2011 7 18 /09 /septembre /2011 20:18

El Watan

 

 

Face à un pouvoir politique passif
Inquiétante poussée du salafisme en Algérie
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le 19.09.11 | 01h00 Réagissez

zoom | © Maz

Le pouvoir promeut-il la doctrine salafiste pour se prémunir contre toute tentative de soulèvement populaire ? Par l’intermédiaire d’imams usant de hadiths portant interdiction de la désobéissance (el khouroudj min waliyi el amr), les prêches du vendredi ne sont plus éducatifs. Cela ressemble plus à un discours pour aliéner et restreindre la réflexion sur le libre arbitre politique.

Le pouvoir promeut-il la doctrine salafiste pour se prémunir contre toute tentative de soulèvement populaire ? Par l’intermédiaire d’imams exposant des hadiths portant interdiction de la désobéissance (el khouroudj min waliyi el amr), les prêches du vendredi ne sont plus éducatifs. Cela ressemble plus à un discours pour aliéner et restreindre la réflexion.
Depuis l’éclatement des révoltes populaires en Afrique du Nord, avec pour conséquences la destitution des tyrans Ben Ali et Moubarak, et plus tard, avec l’appui de l’OTAN, la fuite d’El Gueddafi, les lieux de culte en Algérie sont devenus des endroits hypnotiques. La majorité des imams appellent à l’accalmie, mais surtout à l’obéissance du «prince».

Ces imams, fonctionnaires du ministère des Affaires religieuses, semblent avoir été contraints d’exécuter à la lettre des instructions venant de haut lieu. Alger, la capitale, qui a enregistré le plus grand nombre d’émeutes depuis le début de l’année, voit certaines de ses mosquées se transformer en tribunes appelant à ne pas investir la rue, quel que soit le motif.
Au lieu de distinguer entre le religieux et le politique, les imams sont devenus les relais d’un pouvoir qui n’a pas su gagner la confiance de son peuple, à force de promesses non tenues et d’annonces sans effet.

Vendredi après vendredi, nous avons analysé le contenu des prêches dans différentes mosquées. Le contenu des prédications est surprenant. Au fil des semaines, les prêcheurs évoquaient plus un chaos pouvant survenir après une émeute, à l’exemple de l’appel lancé sur facebook pour une révolte le 17 septembre. De la manipulation en tout lieu. Bien entendu, les imams se référant à des récits coraniques et à des hadiths de plus de consistance ou l’interprétation très généraleEn février dernier, l’imam de la mosquée de Bir Mourad Raïs a étonné les pratiquants. Il a cité un hadith dans lequel le prophète Mohammed aurait appelé à la patience, si el hakem (comprendre par là le chef d’Etat) est un tyran ou un despote.

Dans la foulée, ce même imam affirme : «Quand un policier ou un gendarme vous frappe, entre de force dans votre maison, tabasse votre femme ou votre mère, il ne faut rien faire.» Cet homme de «religion» est-il réaliste en adressant un tel message à des Algériens ? N’a-t-il pas idée de leur tempérament ? Simple question. Dieu et Son Messager, le prophète Mohammed, veulent-ils que les musulmans vivent dans un environnement où règnent autant de maux créés par les régimes totalitaires ? La décadence, l’injustice, le détournement de deniers publics, la marginalisation des compétences sont légion dans les pays arabes, y compris en Algérie.
Incontestablement, la réponse est non. Omar Ibn Khatab, second calife après Abu Bakr, répétait souvent que l’Islam a fait sortir les Arabes des ténèbres. Instrumentaliser la religion musulmane a toujours été pratiqué par les dynasties et les régimes arabes. Chez nous, les mosquées sont devenues des locaux d’abrutissement. Reste à se demander dans quelle optique travaillent les instances religieuses officielles.

Religieusement parlant, le président de la Ligue mondiale des ulémas musulmans, cheikh Youcef El Karadaoui, même s’il n’est pas tout à fait crédible pour certaines questions, révèle que des hadiths «pauvres» sont exploités par des régimes pour droguer et endormir les peuples. Le but recherché est de tuer, dans l’œuf, les révoltes populaires naissantes.

Il est utile de souligner qu’il existe une filière dans les études consacrées à la religion musulmane. En effet, «la science du hadtih» est un vaste champ universitaire qui classifie les paroles du Prophète : hadiths authentiques (les Sahih d’El Boukhari et de Mouslim, qui sont des textes de référence après le Coran), les hadiths sur lesquels les point de vue des ulémas convergent, et les hadiths dits «dhaâif», c’est-à-dire non authentiques et non authentifiés et parfois relatés par des gens que le Prophète a appelé «les menteurs».
Le courant salafiste applique à la lettre les hadiths de nature authentique ou pas, y compris ceux qui n’ont jamais été attribués au Messager de Dieu.

Dans ce cadre, il faut noter qu’il y a deux courants de pensée majeurs. L’école de l’interprétation et l’école du hadith. La première voudrait d’abord comprendre, interpréter dans son environnement propre, tandis que la deuxième voudrait aveuglément l’application de la parole prophétique, sans passer par un débat entre ulémas. Raison pour laquelle les salafistes s’intéressent au détail, comme l’interdiction de se raser la barbe ou de porter des pantalons qui dépassent la cheville. Pour eux, tout bidaâ conduit en enfer.
Les 4 écoles du sunnisme ont longtemps favorisé l’ijtihad durant les premières décennies de leur apparition. Le champ de réflexion a été restreint depuis l’avènement d’Ibn Theymia. A l’époque contemporaine, le salafisme a été propagé à coup de pétrodollars par le royaume wahhabite dans les contrées musulmanes.

L’un des ulémas du malékisme encore vivant en Algérie, cheikh Tahar Aït Aldjat, nous affirme que les écoles du sunnisme (maléki, hanafi, chaféi) sont plus souples et plus vastes en matière d’interprétation. Le hanbali est plus figé à cause du combat mené par Ahmed Ibn Hanbal contre des hérétiques et des pseudo-philosophes, allusion faite aux muutazila.
Pour cheikh Aït Aldjat, «effectivement, l’apparition du salafisme en Algérie a divisé la société. Auparavant, le peuple était uni. Il suivait les préceptes de l’école malékite. J’ai toujours pensé que des coutumes étranges sont venues non seulement de l’Occident, imitation de mauvaises mœurs, mais aussi de l’Orient dont le salafisme».

Mehdi Bsikri
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14 septembre 2011 3 14 /09 /septembre /2011 23:09

 

El Watan

En 50 ans de lutte contre la pensée unique et l’ignorance
Mohammed Arkoun avait déjà semé le printemps…
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le 15.09.11 | 01h00

Mohammed Arkoun

zoom | © D. R.

En ces temps de bouleversantes convulsions que vivent le monde arabe et le Maghreb, criant tout haut une quête de liberté, de démocratie, et rejetant par la même les dogmatismes religieux et les despotes et partis Etats, l’on est tenté de voir se dessiner un sourire sur le visage d’un homme.

Il ne s’agit pas de n’importe quel homme, mais de ce savant, cet opposant à la pensée unique, Mohammed Arkoun. Du haut de sa demeure éternelle, il doit se dire que si ce monde ici bas l’avait encensé déjà dans les années 1960, il se serait épargné d’avoir des Gueddafi, Ben Ali, Moubarak et bien d’autres dictateurs, comme dirigeants. L’on commémore ce 14 septembre 2011 une année depuis la fin de la vie physique de Mohammed Arkoun, mais dont la pensée et les œuvres, qui sont inscrites au panthéon de l’histoire, demeurent vives et vivantes pour l’éternité.

Que cette génération de révoltés, qui exprime son désir de liberté, fasse des œuvres d’Arkoun son guide. Elle trouvera son chemin pour briser toutes les chaînes qui l’inhibent et l’enferment dans un assujettissement aux dogmes et systèmes politico-religieux.
«Nous sommes en train de vivre une phase nouvelle, je ne sais si elle sera décisive, pour le moment elle est pénible, parce que nous sommes en train de cheminer par des passes ténèbres au sujet du fait religieux comme au sujet du fait politique», disait le défunt Mohammed Arkoun en répondant à une question d’un étudiant sur le lien entre la religion et la politique. En fervent défenseur de la laïcité, cet acteur de l’Islam, pas seulement historien, comme il se définissait, a passé sa vie durant à combattre, avec les idées, «l’ignorance institutionnellement organisée».

Ce grand penseur, armé d’intelligence, de clairvoyance et de génie, faisait front contre des siècles d’assujettissement à la pensée unique, dans lequel le monde musulman a été plongé. Le fait du prince et en alliance à un «théologisme» effréné, a poussé vers le déclin un monde musulman qui pourtant avait toutes les chances avant le XIIIe siècle d’écrire de belles pages sur l’ouverture, le brassage et l’enrichissement mutuels des civilisations.

Arkoun le visionnaire

L’éminent penseur, dont la réputation a ébloui le monde du savoir, comme seul l’éclat de l’intelligence peut le faire, avait dit ceci des régimes arabes : «Les échecs ont commencé dès le lendemain de l’indépendance. Partout se sont imposés des régimes policiers et militaires, souvent coupés des peuples, privés de toute assise nationale, indifférents ou ouvertement hostiles à tout ce qui peut favoriser l’expansion, l’enracinement d’une culture démocratique. Les moyens par lesquels les régimes se sont mis en place n’ont, nulle part, été démocratiques.» N’a-t-il donc pas semé le printemps avant que ces hirondelles d’aujourd’hui viennent béqueter dans le récipient libertaire ? Il chérissait l’espoir de voir ce Maghreb dont il se réclamait toujours et où qu’il soit, tourné vers ce qu’il est réellement, c’est-à-dire une partie intégrante de l’espace euro-méditerranéen.

«Il faut savoir séparer le politique en tant qu’idéologique et le destin des cultures et des langues humaines. Voilà la position à prendre pour l’espace maghrébin. Si l’espace maghrébin avait eu des dirigeants qui avaient pu avoir dans la tête cette culture, l’espace maghrébin serait aujourd’hui intégré dans l’espace européen et sans aucune espèce de différenciation. Toute cette histoire ouverte sur l’ensemble de l’espace méditerranéen a été stérilisée, ignorée, chassée de la mémoire historique des Maghrébins», avait-il dit dans un des derniers entretiens de sa vie, et qu’il avait accordé à Rachid Benzine, en mars 2010, soit quelques mois avant sa mort. Il assènera ceci, comme pour livrer une dernière bataille aux despotes dirigeants du Maghreb : «Je critique sévèrement l’option idéologique aveugle qui a appauvri intellectuellement, culturellement, scientifiquement, spirituellement, moralement, l’ensemble de l’espace maghrébin qui ne serait absolument pas ce qu’il est aujourd’hui devant des impasses historiques, politiques, économiques, éducatives et scientifiques.»

Il accuse les Etats-post coloniaux d’avoir manipulé la religion de l’Islam pour exercer un monopole et tirer profit d’une légitimité qu’ils ne peuvent avoir par la voix démocratique. «Nous avions pourtant le temps», disait-il, «en 60 ans de construire un espace maghrébin ouvert, humaniste, qui appartient à la grande civilisation qui récapitule les héritages du Moyen-Âge». Dans le même entretien qu’il a accordé en mars 2010, le passeur des religions et pourfendeur de l’islam des dogmatismes, disait aussi à l’âge de 82 ans : «Le problème des religions monothéistes n’est pas encore ouvert en tant que dossier nouveau pour refaire complètement les théologies que nous avons héritées du Moyen-Âge et ouvrir une nouvelle pensée théologique qui s’imposerait aux trois versions du monothéisme. C’est le travail auquel je me suis livré depuis 50 ans.» En un demi-siècle de recherche, Mohammed Arkoun a tracé le chemin vers la pensée libre ; aux générations du printemps arabe de le suivre.

Nadjia Bouaricha
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11 septembre 2011 7 11 /09 /septembre /2011 21:08

Les Moines de Tibhirin

 

Le coup fourré de Sarkozy

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11 septembre 2011 7 11 /09 /septembre /2011 21:03

 

L'Expression

 

LUTTE ANTITERRORISTE EN ALGÉRIE

«Il faut détruire la matrice idéologique de l'islamisme»
Par Mohamed Mokaddem lors de la conférence au centre de recherches sécuritaires et stratégiques (Crss)Mohamed Mokaddem lors de la conférence au centre de recherches sécuritaires et stratégiques (Crss)

«La gestion du terrorisme par le tout-sécuritaire ne peut constituer une victoire définitive contre ce fléau.»

«Sur le plan sécuritaire, l'Algérie a bel et bien vaincu le terrorisme. Mais, sur le plan idéologique, ce fléau demeure encore fort et vivant», a estimé hier le spécialiste des mouvements islamistes algériens, Mohamed Mokaddem, lors d'une conférence au centre de recherches sécuritaires et stratégiques (Crss) de Ben Aknoun à Alger. Placée sous le thème «Le terrorisme transnational après le 11 septembre», cette conférence a vu la participation d'éminentes personnalités diplomatiques dont l'ambassadeur des Etats-Unis à Alger, un représentant de l'ambassade du Canada, des personnalités politiques dont le membre du comité central du FLN, Abdelhamid Si Affif, des généraux algériens à la retraite ainsi que des chercheurs étrangers dont le responsable des programmes Afrique subsaharienne, au niveau du centre de recherche français Ifri, Alain Antil.
Très prolixe sur le sujet, M. Mokaddem, qui est également directeur de publication du confrère arabophone Ennahar, a soutenu que «la lutte contre le terrorisme ne peut être efficace si elle est seulement réduite au plan sécuritaire». Elle doit être, a-t-il suggéré, certes renforcée, «mais elle ne constitue pas, à l'évidence, une solution en aval pour endiguer le terrorisme». L'approche en amont dans le traitement efficace de ce phénomène à ramifications internationales, impose «à l'Etat avec tous ses démembrements institutionnels de s'attaquer à la matrice idéologique qui le génère et le catalyse, en l'occurrence «l'islamisme idéologique».
D'ailleurs, selon Mohamed Mokaddem, le terrorisme idéologique reprend du poil de la bête. Car, on s'est attaqué énergiquement à ses fruits, mais pas à l'arbre. «Le salafisme, matrice incontestable du terrorisme, revient en force et trouve des recrues potentielles, de par ses audiences». «C'est à lui que devrait s'attaquer l'Etat», a-t-il tonné, insistant qu'il s'agit là d'une mission urgente et impérative. «Ecoles, mosquées et société civile doivent servir de tribune d'expression et de mobilisation contre les conséquences dévastatrices, doctrinaires et destructives de ce fléau», a-t-il suggéré. Et de s'interroger, encore: «Pourquoi y a-t-il toujours des jeunes qui rejoignent les organisations terroristes et servent de bombes humaines? La misère sociale, le chômage, la hogra n'expliquent pas tout. Il faut un discours, un endoctrinement pour qu'ils franchissent le Rubicon.» Ce n'est pas une invention de la rue ou encore moins des médias, mais la matrice productrice du phénomène du terrorisme, sous toutes ses formes, est une réalité sur le terrain. Se voulant critique du traitement réservé par les hautes autorités du pays au fléau du terrorisme, le conférencier a fait savoir que l'Etat algérien doit réinvestir les différents espaces occupés jusqu'ici par les obscurantistes faisant dans l'endoctrinement de jeunes adolescents. Selon M. Mohamed Mokaddem, interdire certains ouvrages religieux et subversifs,, cela n'aide en rien à endiguer le terrorisme par ses racines du moment qu'ils ont accès à toute une littérature subversive par Internet. D'autant plus que le ministère des Affaires religieuses donne l'impression de ne gérer que l'intendance. «Il faut qu'il y ait des discours religieux (dourous) sensibilisant les croyants contre les dangers et les conséquences du terrorisme», a appuyé le conférencier, estimant que même les programmes scolaires doivent inclure des cours didactiques quant aux dangers du terrorisme dévastateur. C'est dire, à l'évidence, que la gestion du terrorisme par le «tout-sécuritaire» ne peut constituer une réussite définitive. Abordant la crise libyenne et son impact sur l'Algérie, le conférencier a noté que des menaces pèsent, en effet, lourdement sur l'Algérie dans le cas où le Conseil national de transition libyen (CNT) ne trouverait pas, dans les plus brefs délais, un consensus national afin d'asseoir une reconstruction institutionnelle en mesure de réconcilier l'ensemble des Libyens. En plus de la circulation des armes, le recyclage des anciens terroristes et des ex-proches du régime de Mouamar El-Gueddafi, au sein du CNT, peut constituer de véritables mamelles nourricières d'une instabilité aussi bien au plan sécuritaire que politique pour la région. Une telle instabilité ne sera pas, de l'avis de l'invité du Crss, sans effet sur la sécurité régionale. Et de relever: «La Libye peut être transformée en un nouveau foyer de tension à l'irakienne. Il n'est pas loin, car les prémices d'une telle situation sont là. Les islamistes animés d'une idéologie radicale et intégriste peuvent en gagner la bataille.» Les différends entre les membres du CNT existent et ne cessent d'élargir le fossé entre les uns et les autres, a-t-il fait savoir, en précisant que le CNT est composé d'une équipe où chacun a ses propres idées. Mohamed Mokaddem a noté enfin que l'Algérie est le premier pays susceptible de subir les dangers et conséquences néfastes de l'instabilité et de l'insécurité en Libye, car une telle situation peut servir de source d'alimentation et de refuge pour le terrorisme.

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10 septembre 2011 6 10 /09 /septembre /2011 19:58

 

 

 

L'effroyable journée qui a changé le monde

 

 

L'effroyable journée qui a changé le monde, mais malheureusement pas l'Algérie !

 

Le pouvoir central arabo-islamiste a même eu le culot d'amnistier les terroristes islamistes, et de les ''manipuler'' dans sa ''salle Guerre'' contre le peuple Algérien avide de démocratie, contre la Kabylie, contre les ''Moines de Tibhirin'', contre toute aspiration pour la modernité.

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